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Communiqué: Explosion de Beyrouth: tous les chemins mènent au Hezbollah (Sept 10,2020)

 

Hassan Nasrallah meets Khamenei in visit to Iran (Source:Wikipedia)

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Explosion à Beyrouth: le propriétaire du navire avait des liens avec une banque utilisée par le Hezbollah (rapport)

i24NEWS ,22 août 2020

L’INNOCENCE DU HEZBOLLAH AU LIBAN

Jacques BENILLOUCHE

BENILLOUCHE blogspot.com

Beyrouth: la piste du nitrate d’ammonium mène au Hezbollah InfoEquitable18 août 2020

APERÇU DE L’ACTUALITÉ

Explosion à Beyrouth: le propriétaire du navire avait des liens avec une banque utilisée par le Hezbollah (rapport)

i24NEWS ,22 août 2020

Une grande quantité de nitrate d’ammonium qui se trouvait à bord du Rhosus a disparu avant l’explosion

Le navire qui transportait la réserve de nitrate d’ammonium qui a explosé au début du mois dans le port de Beyrouth aurait appartenu à un homme d’affaires chypriote lié à une banque utilisée par le groupe terroriste du Hezbollah, a rapporté vendredi Der Spiegel.  

Le Rhosus, qui naviguait sous pavillon moldave, se rendait de la Géorgie vers le Mozambique en septembre 2013 transportant 2.750 tonnes de nitrate d’ammonium. Le navire, qui fuyait et présentait d’autres problèmes techniques, s’était amarré à Beyrouth mais n’a jamais quitté la capitale libanaise.

À la suite de l’explosion du 4 août, des rapports avaient indiqué que le Rhosus appartenait à l’homme d’affaires russe Igor Grechushkin. 

Or, un article publié vendredi par l’hebdomadaire allemand Der Spiegel indique que le navire appartenait en réalité à Charalambos Manoli, un homme d’affaires chypriote. 

Selon le rapport, C. Manoli avait emprunté 4 millions de dollars en 2011 à la FBME, une banque basée en Tanzanie accusée par les États-Unis de blanchiment d’argent pour le compte du Hezbollah et d’être une société écran liée au centre de recherche sur les armes chimiques de la Syrie. 

La banque a ensuite été fermée par la Tanzanie en raison de poursuites américaines.

En octobre 2014, C. Manoli devait encore 1.1 million de dollars à la FBME, selon le rapport, qui ajoute que cette banque était connue pour faire pression sur les emprunteurs pour qu’ils rendent service à certains de ses clients, dont le Hezbollah.

Le rapport indique également qu’une grande quantité de nitrate d’ammonium qui se trouvait à bord du Rhosus a disparu avant l’explosion en août de l’entrepôt, où il était stocké.

Source Primaire Lien

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L’INNOCENCE DU HEZBOLLAH AU LIBAN
Jacques BENILLOUCHE
BENILLOUCHE blogspot.com
Le silence international qui entoure le Hezbollah est déroutant alors que de plus en plus de faisceaux de présomption s’accumulent contre lui. Aucun pays occidental ne se risque à soulever le problème par crainte de semer le trouble et d’attiser le feu contre la milice. Lors de son voyage, Emmanuel Macron n’a pas touché mot de cette présence nuisible au point que les observateurs attribuent la médaille de l’innocence à Hassan Nasrallah. Pourtant l’incendie et la destruction du port de Beyrouth mettent en cause la milice libanaise, de manière directe ou indirecte.
Le Hezbollah n’est certainement pas étranger au nitrate d’ammonium du port de Beyrouth sachant que le propriétaire du cargo, qui l’a déposé sur les quais, a des liens avérés avec une banque proche du Hezbollah. On s’étonne d’ailleurs que les 2.750 tonnes de nitrate aient été stockées pendant plus de six ans sans aucune précaution. Le secret a été bien gardé, puis éventé, sur le destinataire final de la marchandise acheminée le 20 novembre 2013 par le cargo moldave le Rhosus et sur les raisons de l’abandon du bateau par son propriétaire. On a caché aussi le nom du titulaire du hangar 12 où était entreposée cette marchandise inflammable.
Il est vrai que le Liban n’est pas réputé pour avoir une information fluide alors que la corruption règne au sein d’une administration opaque. Les fonctionnaires du port sont silencieux comme s’ils avaient reçu des ordres de ne rien laisser transpirer ou parce qu’ils se sentent impliqués. Il leur est difficile de révéler les dessous de table et les passe-droits accordés au Hezbollah dont les conteneurs ne sont soumis à aucun contrôle de la douane. 
Bien sûr, ce nitrate peut être déclaré comme engrais agricole alors qu’en fait, c’est un puissant agent explosif utilisé par toutes les organisations terroristes et militaires du monde entier.  L’usage de ce produit est d’ailleurs réglementé dans les pays occidentaux mais cela semble volontairement ignoré par le Hezbollah qui a utilisé ce nitrate dans 40 cas référencés dans le monde, de 1983 à 2017.
En mars 1994, lors de l’attaque de l’ambassade israélienne à Bangkok, une tonne de nitrate avait été découverte par les autorités lors du démantèlement d’une cellule du Hezbollah. En 2012, en Thaïlande, même scénario. En août 2015, trois miliciens du Hezbollah avaient été arrêtés au Koweït avec 18 tonnes de nitrate tandis que plusieurs autres l’ont été à Chypre avec 420 paquets de nitrate d’un poids de 8 tonnes. Ils préparaient des attaques contre des cibles et des touristes israéliens. Les services de renseignements ont révélé plusieurs attaques avortées contre des sites juifs et des synagogues au moyen de ces explosifs financés par l’Iran. Toutes les actions terroristes du Hezbollah en Allemagne, au Royaume-Uni et en Bulgarie l’ont été au moyen du nitrate d’ammonium. En 2015, le Mossad avait prévenu les Britanniques que des pains de glace contenant trois tonnes de nitrate étaient convoyés par quatre membres du Hezbollah. En 2020, les Allemands avaient découvert du nitrate dans des emballages de glace.

En décembre 2019, la Cour fédérale de New York avait condamné à 40 ans de prison un agent du Hezbollah, un Libanais naturalisé Américain, Ali Kourani, accusé d’avoir tenté d’acquérir des centaines de tonnes de nitrate d’ammonium d’un fabricant chinois. Il ne fait donc aucun doute que le Hezbollah est un grand consommateur de nitrate d’ammonium comme explosif et non pas comme engrais. Évidemment, Hassan Nasrallah s’en défend et  l’ensemble de la communauté internationale feint de le croire pour n’avoir aucun problème avec ses agentes terroristes.

L’hebdomadaire allemand Der Spiegel vient de révéler, le 21 août, que le propriétaire du Rhosus est «l’homme d’affaires chypriote, Charalambos Manoli, ayant des relations avec une banque utilisée par le Hezbollah au Liban». Il avait contracté en 2001 un emprunt de quatre millions de dollars auprès de la Bank FBME. Les Américains avaient depuis longtemps accusé cette banque, une compagnie syrienne, de blanchir l’argent du Hezbollah et de financer le programme d’armes chimiques du régime syrien.

Le quotidien conservateur allemand Die Welt, avait de son côté révélé que le parti chiite libanais «avait reçu d’importantes livraisons de nitrate d’ammonium étroitement liées au matériau qui a explosé Beyrouth» sur la base de trois transactions financières en 2013 et 2014.
 
Israël avait depuis longtemps mis en garde l’opinion internationale sur le rôle ambigu du Hezbollah dans ces transactions. L’an dernier déjà, l’ambassadeur israélien à l’ONU, Danny Danon, avait anticipé le drame «le port de Beyrouth est devenu celui du Hezbollah. Dans les années 2018-2019, des produits à double usage étaient introduits en contrebande au Liban afin de faire progresser les capacités de roquettes et de missiles du Hezbollah». Les  autorités libanaises avaient alors rejeté cette accusation en prétendant que «le Hezbollah dispose de technologies bien plus récentes, et qu’il n’a que faire de ce composé primitif au Liban». En revanche, le nitrate est plus utilisé à l’étranger car il est vendu en tant qu’engrais et facile à acheter sachant de plus, qu’une concentration d’azote à 35% est suffisamment élevée pour en faire un explosif puissant.

Mais ces arguments ne semblent pas avoir convaincu Emmanuel Macron pour  diligenter une enquête internationale. Bien sûr, son ami et celui du Hezbollah, le président Aoun, s’est opposé avec force contre toute enquête. En effet, le gouvernement libanais ne peut durer qu’avec la participation du Hezbollah qui détient aujourd’hui l’avenir du Liban entre ses mains. Pour Aoun, il ne s’agit donc pas de faire des vagues ni d’incriminer un allié auquel il doit son poste.

Source Primaire Lien

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Beyrouth: la piste du nitrate d’ammonium mène au Hezbollah InfoEquitable18 août 2020
Ces dernières années, le Hezbollah a été impliqué dans plusieurs attentats utilisant des explosifs à base de nitrate d’ammonium. Des caches où étaient stockés ces produits ont été découvertes dans plusieurs pays d’Europe. La presse française demeure très discrète sur ces affaires.Près de deux semaines après l’explosion qui a ravagé Beyrouth, une question demeure sans réponse : pour quelles raisons 2750 tonnes de nitrate d’ammonium étaient-elles stockées, « à l’abandon », dans un hangar du port ? Qui au Liban avait intérêt à conserver ces matières premières hautement explosives et pour en faire quoi ?

« Au Liban de telles questions restent souvent sans réponses », concède Le Monde dans cet article écrit dès le lendemain de la catastrophe.

Quelques jours plus tard, le 10 août, les autorités libanaises annoncent qu’elles refusent toute enquête internationale.

Citant un responsable d’un think tank arabe, Le Monde se borne à relever : « Une enquête libanaise n’abordera pas la question que tous les Libanais se posent: quel est le rôle du Hezbollah dans le port? Y a-t-il des armes? »

Le nom du Hezbollah a bien été prononcé au détour d’une phrase… Mais l’article en est resté à ces interrogations et n’a pas mené plus loin les investigations. 

Le Monde n’est pas le seul à avoir adopté cette ligne éditoriale. Depuis deux semaines, cette prudence à ne pas vouloir mettre en cause de manière trop directe la responsabilité de la milice chiite pro-iranienne dans la catastrophe du port de Beyrouth caractérise le ton dominant adopté par les médias français.

Des dépêches de l’AFP déséquilibrées… en faveur du Hezbollah

L’Agence France-Presse, elle-non plus, n’a pas poussé très loin l’enquête. Depuis une quinzaine de jours, l’AFP a indiqué de manière laconique dans ses dépêches que les 2750 tonnes de nitrate d’ammonium étaient stockées « sans mesure de précaution ».

Sur les caractéristiques du produit, l’AFP se borne à préciser que « le nitrate d’ammonium est principalement employé comme engrais azoté pour un usage agricole mais peut aussi entrer dans la composition de certains explosifs à usage civil ».

La seule dépêche de l’AFP (ici reprise par Nice Matin) consacrée au rôle du Hezbollah dans cette affaire met en avant les dénégations des ses dirigeants qui déclinent toute responsabilité dans l’explosion.

Le bureau de l’AFP de Beyrouth a en revanche totalement passé sous silence les déclarations de Baha’ Hariri, le frère de l’ancien Premier ministre Saad Hariri, publiées par le quotidien libanais francophone L’Orient-Le-Jourpointant du doigt la responsabilité de la milice chiite pro-iranienne.

Le nitrate d’ammonium, un explosif très utilisé par le Hezbollah 

Si ce qu’affirme Baha’ Hariri – et beaucoup d’autres Libanais – est vrai, à quoi le Hezbollah destinait-il les milliers de tonnes de nitrate d’ammonium conservées dans le hangar n°12 du port de Beyrouth ?

Réponse : à fabriquer des bombes et à commettre des attentats.

Cette affirmation n’est pas gratuite. Depuis une dizaine d’années au moins, la milice chiite aux ordres de l’Iran a été impliquée dans plusieurs tentatives d’attentats à travers le monde commis avec des explosifs à base de nitrate d’ammonium.

Le Hezbollah a en effet constitué aux quatre coins de la planète des réseaux de caches clandestines où étaient stockées de grandes quantité de nitrate d’ammonium. C’est le démantèlement de ces planques par les polices de plusieurs pays et l’arrestation d’individus liés à la milice chiite libanaise qui a entraîné son inscription sur la liste des organisations terroristes.

Plusieurs stocks d’explosifs découvert en Allemagne 

En avril dernier, les autorités allemandes ont ainsi déclaré le Hezbollah comme « organisation terroriste » et interdit toute activité de la milice chiite sur le sol allemand. 

Cette interdiction faisait suite à une série de perquisitions de la police allemande dans des mosquées, des centres culturels islamiques, des appartements privés… situés à BerlinBrêmeMünsterDortmund

Des centaines de kilos de nitrate d’ammonium ont été découverts lors de ces perquisitions, rappelle le journal allemand Bild qui, le 5 août dernier, a établit un lien avec l’explosion de Beyrouth.

« Le Hezbollah stockait également des explosifs [du même type que ceux] de Beyrouth dans le sud de l’Allemagne », annonce le Bild à sa une.

« Le groupe terroriste Hezbollah utilise du nitrate d’ammonium dans le monde entier pour ses projets d’attentat », précise le premier quotidien allemand dans cet article.

Pour avoir cette information, il faut lire l’allemand. L’AFP et la presse française n’en ont pas parlé. 

Le cas de l’Allemagne n’est pas isolé.

Du nitrate d’ammonium stocké en Grande-Bretagne

En juin dernier, le quotidien britannique The Telegraph a révélé que la police anglaise avait démantelé en 2015 – quatre ans plus tôt ! – un réseau de planques du Hezbollah dans le nord Londres dans lesquelles étaient stockées plusieurs tonnes de nitrate d’ammonium.

Citant des responsables du MI5, les services de renseignements et antiterroristes britanniques, The Telegraph a indiqué que ce nitrate d’ammonium était destiné à commettre des attentats à la bombe en Angleterre et dans d’autres pays européens. 

Ces révélations ont fait grand bruit Outre-Manche, car durant quatre ans l’affaire a été cachée à l’opinion publique et aux parlementaires. Les autorités britanniques ont justifié cette confidentialité par le souci de préserver les épineuses négociations sur le nucléaire iranien. Il n’en reste pas moins qu’à la suite de la découverte de ces explosifs, le gouvernement anglais a inscrit à son tour le Hezbollah sur la liste des organisations terroristes.  

Chypre, plaque tournante du trafic

En juin 2015, Bassam Hussein Abdallah, un libano-canadien de 26 ans a été condamné à Chypre à six ans de prison après que la police chypriote a découvert dans le sous-sol de sa maison de Larnaca 8,2 tonnes de nitrate d’ammonium

Lors de l’enquête, le jeune homme a reconnu ses liens avec la branche militaire du Hezbollah. L’explosif devait être utilisé dans le cadre d’attentats contre des touristes israéliens qui chaque année viennent nombreux dans l’île.

Selon les enquêteurs, la cache de Chypre était également utilisée comme plaque tournante pour faire transiter les explosifs à destination de l’Europe.  
 

Selon les enquêteurs, la bombe à base de nitrate d’ammonium dont était porteur le kamikaze avait été acheminée via Chypre en Bulgarie.

Les éléments recueillis lors de l’enquête ont contribué à la décision de l’Union européenne du 22 juillet 2013 d’inscrire la branche armée du Hezbollah sur sa liste des organisations terroristes.

Le réseau du Hezbollah s’étend aussi en Asie

En avril 2014, la police thaïlandaise a arrêté deux suspects libanais quelques jours après leur arrivée à Bangkok.

Lors de leur interrogatoire, Youssef Ayad et Daoud Farhat (ce dernier est également titulaire de la nationalité française) ont reconnu être venus en Thaïlande pour commettre des attentats à la bombe contre des touristes israéliens séjournant dans le pays à l’occasion des fêtes de la Pâque juive. Selon le Bangkok Post, des matière explosives ont été saisies dans l’appartement où résidaient Daoud Farhat.

Le Hezbollah n’en était pas à son coup d’essai en Thaïlande. Deux ans plus tôt, en janvier 2012, la police thaïlandaise avait découvert une première cache d’explosifs, dont trois tonnes de nitrate d’ammonium, dans un appartement de la ville portuaire de Mahachai, non loin de Bangkok.

Attentat meurtrier à Bourgas (Bulgarie) en 2012

En juillet 2012, un attentat suicide à l’explosif a tué six personnescinq touristes israéliens et le chauffeur de leur car, dans la station balnéaire de Bourgas, en Bulgarie.

Accusé d’appartenir au Hezbollah, le locataire de l’appartement, Hussein Atris, un homme d’affaire suédois d’origine libanaise, a été condamné en 2013 à quatre ans de prison.

Des arrestations aux Etats-Unis en 2017

Les Etats-Unis ne sont pas épargnés par la menace terroriste du Hezbollah. En juin 2017, le département américain de la justice à rendu publique l’arrestation de deux membres de l’organisation terroriste suspectés de préparer des attentats sur le sol américain ainsi qu’au Panama pour le compte de la milice libanaise.

Cette liste des attentats et tentatives d’attentats attribués au Hezbollah n’est pas exhaustive. D’autres opérations terroristes ont été déjouées ces dernières années en Afriqueen Amérique latine

Certains pays européens en ont tiré toutes les conséquences. Après l’explosion de Beyrouth, la Lituanie vient d’interdire l’entrée sur son territoire de toute personne affiliée au Hezbollah et considère désormais la milice chiite comme une « organisation terroriste ».

Mais une partie des pays de l’Union européenne – dont la France – se limitent à une désignation restrictive que certains qualifient de « fiction juridique » : seule la « branche militaire » du Hezbollah est considérée comme terroriste. Sa « branche politique » demeure aux yeux de l’UE et de la France un interlocuteur légitime

Ceci explique peut-être la réticence française à mettre en cause le Hezbollah dans l’explosion qui a ravagé le port de Beyrouth.

Source Primaire Lien
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APERÇU DE L’ACTUALITÉ

Le Conseil de coopération du Golfe demande des excuses aux factions palestiniennes

i24NEWS, 08 septembre 2020
“Il est malheureux de voir que les Palestiniens se trompent et doutent de la position historique du CCG”

Le Conseil de coopération du Golfe (CCG) a exigé des excuses formelles suite à des propos tenus par Maeen Hamid, leader de la brigade As-Sa’iqa, lors d’une conférence en présence des différentes factions palestiniennes, ont rapporté lundi les médias israéliens.
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L’Union européenne menace la Serbie et le Kosovo de refuser leur adhésion si leurs ambassades sont à Jérusalem

 infos-israel.news, 08/09/2020

L’Union européenne a averti lundi la Serbie et le Kosovo que le déplacement de leurs ambassades en Israël à Jérusalem, comme l’a annoncé le président Donald Trump la semaine dernière, compromettrait leurs chances d’être accepté en tant que membres de l’UE.

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À Jérusalem, des archéologues découvrent un palais de l’époque du Premier Temple

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Les colonnes découvertes sur la promenade d’Armon HaNatziv illustrent le bonheur des habitants de la ville antique après l’assouplissement du siège assyrien il y a 2 700 ans.

Les archéologues ont découvert de majestueuses têtes de colonnes provenant d’un palais de l’époque du Premier Temple sur la promenade Armon Hanatziv de Jérusalem. Les vestiges de l’ancien bâtiment seront exposés pour la première fois au public jeudi.

 

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