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DE DAVOS À JÉRUSALEM

 

 

 

 

 

        SHLOMIT KRIGMAN

Adiv Sterman et Raoul Wootliff                          

     jan., 2016

 

Des centaines de personnes ont assisté à l’enterrement de Shlomit Krigman, qui a été poignardée lundi lors d’une attaque terroriste dans l’implantation de Beit Horon en Cisjordanie et a succombé mardi matin à ses blessures. Krigman a été enterré au cimetière Givat Shaul de Jérusalem, à côté de la tombe de Dafna Meir, une mère israélienne de six enfants poignardée à mort la semaine dernière dans sa maison à Otniel.

 

Lors de la cérémonie, qui a été fermée à la presse, un professeur de Krigman a rappelé sa « grande curiosité » et son caractère doux. « Elle était ouverte sur le monde et avait une grande curiosité», a déclaré Eitan Bnaya, l’un des professeurs de Krigman à l’Université d’Ariel, selon le site d’informations Ynet. « Elle s’intéressait à de nombreux domaines. Tout a été coupé en un instant, une jeune femme dont la vie s’est terminée ».

 

« Malgré son apparence douce, elle s’attaquait à toutes les machines et à tous les matériaux pour construire des modèles. Son projet de fin d’études était la construction de bibliothèques publiques dans les arrêts de bus, une sorte d’activité sociale qui combine ses deux grands amours – les livres et le design ».

 

La mort de Krigman a secoué ses amis et parents , et ils ont rappelé son cœur chaleureux, sa nature artistique, et sa conscience sociale. « Elle était une personne attentionnée, proche et bienveillante envers ses amis », avait dit Einat Dermer au site d’information NRG plus tôt mardi. «Elle était juste une personne qui voulait que tout soit bon, et elle l’a fait à sa façon. »

 

Krigman, qui avait précédemment travaillé comme animatrice du mouvement de jeunesse Bnei Akiva à Beit Horon, était venue rendre visite à ses grands-parents dans l’implantation quand elle a été attaquée, selon un message de la localité publié mardi matin. Une autre femme, Adina Cohen, 58 ans, a été légèrement blessée dans l’attaque, qui a eu lieu devant une superette dans l’implantation.

 

Bien qu’originaire de l’implantation de Shadmot Mehola, située dans la vallée de Beit Shéan, Krigman a passé beaucoup de temps à Beit Horon, près de Jérusalem, et était considérée comme une résidente par beaucoup de ceux qui vivent dans la petite communauté. « Shlomit, votre adresse est peut-être à Shadmot Mehola, mais avez-vous été sans aucun doute une résidente de Beit Horon, » a écrit sur Facebook un des habitants en hommage. « Shlomit, vous faisiez partie du paysage de Beit Horon, un sourire, une fleur tranquille qui éclairait ceux qui l’entouraient.»

 

Le cousin de Krigman Danny Hirschberg, qui dirige le mouvement Bnei Akiva en Israël, a dit que sa famille ressentait une « grande douleur. » « Nous avons eu une nuit difficile de turbulences et d’espoirs qui s’est terminée par une grande tristesse », a-t-il confié à Ynet. « Shlomit était une jeune fille aimée, douce, toujours souriante, énergique et pleine de lumière. Nous sommes dans une grande douleur. Nous espérons des jours meilleurs ».

 

Krigman avait récemment terminé un diplôme en design industriel à l’Université d’Ariel, et souhaitait poursuivre dans ce domaine. Elle laisse dans le seuil ses parents et ses six frères et sœurs. L’attaque terroriste était la troisième en un peu plus d’une semaine à avoir lieu à l’intérieur d’une implantation. Le 17 janvier, un terroriste s’était infiltré à dans le sud de la Cisjordanie, et avait poignardé à mort Dafna Meir. Le lendemain, un terroriste s’est infiltré dans l’implantation de Tekoa, au sud de Jérusalem, et a poignardé une femme enceinte, Michal Froman, la blessant modérément.

 

 

 

LA GRAND-MERE DE YOTAM SITBON DENONCE LE TRAITEMENT DE L’INFORMATION EN FRANCE                                                                    Times of Israel, 25 jan., 2016

 

Martine est la grand-mère de Yotam Sitbon, bébé de 14 mois qui a été victime d’un attentat à la voiture bélier le 14 décembre dernier à Jérusalem.  C’est en sortant du métro République, au téléphone avec sa belle-fille, que Martine apprend que sa famille a été victime d’un attentat et que son petit-fils va devoir être amputé de la jambe. Elle prend alors le premier avion pour Israël.

 

Dans une interview accordée à Rue 89, Martine témoigne de l’empathie israélienne où toute la communauté israélienne mais aussi juive francophone a soutenu la famille de Yotam notamment grâce à une cagnotte mise en ligne sur le site de Leetchi afin de réunir de l’argent pour aider la famille.

 

Si la communauté nationale israélienne s’est mobilisée, les médias français ont passé sous silence l’existence d’une victime franco-israélienne.  Selon Rue 89, les médias de l’hexagone ne s’attardent pas sur les victimes franco-israéliennes. Ce constat est confirmé par Martine. Certains médias auraient répondu à Martine qu’ « il y a des victimes tous les jours, surtout côté Palestiniens, pourquoi s’intéresser spécialement à Yotam ? »

 

Rue89 dénonce le traitement de l’information des médias français concernant la recrudescence des attaques au couteau en Israël. En effet, les titres sont le reflet d’une vision française ou le terroriste devient la victime. Pour Jérôme Bourdon, historien, sociologue et professeur à l’Université de Tel Aviv, les médias « privilégient la souffrance ou la victime palestinienne ».

Ainsi les juifs français délaissent les sites d’information français pour des sites « communautaires » explique Rue 89. Martine est rentrée en France inquiète. « Jusqu’à l’événement avec Yotam, je pensais qu’il était possible de vivre ensemble, maintenant non. » témoigne-t-elle.

 

 

NETANYAHU A MOGHERINI :

TRAITEZ ISRAËL COMME LES PAYS ARABES MODERES NOUS TRAITENT

Raphael Ahren

Times of Israel, 22 jan., 2016

 

 

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a déclaré jeudi à la chef de la politique étrangère de l’Union européenne, composée de 28 nations, que l’UE devrait adopter les politiques des Etats arabes modérés concernant Israël. Lors d’une réunion au Forum économique mondial de Davos, en Suisse, le Premier ministre israélien a également déclaré que de meilleurs liens entre Jérusalem et les Etats arabes modérés permettraient d’améliorer les relations d’Israël avec les Palestiniens, selon un communiqué du bureau de Netanyahu.

 

Il a suggéré aux pays européens qui traitent avec l’Etat juif d’agir comme les pays arabes modérés, mais n’a pas donné davantage de détails. La Jordanie et l’Egypte sont les seuls pays arabes ayant des relations diplomatiques formelles avec Israël. Cependant, les responsables israéliens ont déclaré au cours des dernières années que les intérêts communs avec les pays arabes sunnites, qui se sont également opposés aux ambitions nucléaires de l’Iran, ont ouvert la porte à la création de nouveaux liens.

 

Netanyahu a déclaré à Federica Mogherini que l’Union européenne a un « double standard » quand il s’agit d’Israël. Ce commentaire a été fait plusieurs jours après que l’UE a réaffirmé dans une résolution qu’elle continuerait de différencier entre Israël à proprement dit et les implantations. Mogherini, en réponse, a maintenu que l’Union européenne ne boycottait pas Israël.

 

Au cours d’une série de réunions en Suisse jeudi, dont un entretien avec le vice-président américain Joe Biden et le secrétaire d’Etat américain, John Kerry, Netanyahu a également lancé une pique à la Suède, une semaine après que sa ministre des Affaires étrangères a exhorté à l’ouverture d’une enquête approfondie sur ce qu’elle a prétendu être « les exécutions extrajudiciaires » des terroristes palestiniens.

 

« Il y a probablement plus de Suédois chez l’EI que d’Arabes israéliens », a déclaré Netanyahu.

Dans une interview au Forum économique mondial tôt jeudi, le Premier ministre a déclaré que battre l’Etat islamique était faisable et a maintenu que les liens entre les Etats-Unis et Israël étaient forts.

 

« Je pense que c’est une chose faisable. Je pense que l’ISIS [un acronyme pour l’EI] peut être vaincu. ISIS est une idée, avec un territoire et du pétrole. Il est possible de lui retirer le pétrole, ce qui enlèverait la moitié de leurs revenus. Il est possible d’atteindre les centres nerveux de leurs idées, qui sont concentrées essentiellement en deux endroits : Raqqa [en Syrie] et Mossoul [en Irak] ; cela ne nécessite pas de s’occuper de toute la Syrie et l’Irak. Et nous avons eu ces discussions avec les États-Unis et d’autres [Etats qui s’attellent à] cette tâche ».

 

Netanyahu a reconnu les années d’acrimonie avec l’administration Obama sur l’accord nucléaire iranien, qui a récemment été mis en œuvre, et les pourparlers de paix avec les Palestiniens. « Nous pouvons avoir nos désaccords. Nous en avons. Ils les publient toujours comme si c’était très dramatique. Mais », a-t-il ajouté, « l’alliance entre les Etats-Unis et Israël est si forte et si puissante que la seule chose qui s’est effondrée est le discours sur l’imminent effondrement américano-israélien. Il est très clair que ça ne va pas se produire, et que ce partenariat est solide comme un roc, et le restera

La Maison Blanche a dit plus tard dans un communiqué que lors de la réunion avec Joe Biden, celui-ci « a réaffirmé l’inébranlable engagement des États-Unis envers la sécurité d’Israël et les deux dirigeants ont discuté des moyens d’approfondir la coopération en matière de sécurité pour faire face aux menaces régionales communes ».

 

Selon la déclaration, Biden et Netanyahu « ont également discuté des développements régionaux, dont la Syrie, la campagne contre l’ISIL [un autre acronyme pour l’EI], la mise en œuvre du Plan global d’action conjoint pour empêcher l’Iran d’acquérir des armes nucléaires, des mesures pour contrer les activités de déstabilisation de l’Iran, et les possibilités pour Israël de développer des partenariats énergétiques avec les pays orientaux de la Méditerranée pour améliorer la prospérité et la coopération régionale ».

 

 

"FACE A LA MONTEE DE L'ANTISEMITISME, NOUS SOMMES TOUS JUIFS" (OBAMA)

I24, 28 jan., 2016

 

 

Le président US assiste à une réception à l'occasion de la Journée internationale de commémoration de la Shoah. Le président américain Barack Obama a condamné mercredi la montée de l'antisémitisme dans le monde lors d'une réception à l'ambassade d'Israël aux Etats-Unis, une première pour un président américain en exercice, à l'occasion de la Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l'Holocauste.

 

"Face à la montée de l'antisémitisme, nous nous tous Juifs", a lancé le leader américain, reconnaissant la "réalité" de la montée de l'antisémitisme à travers le monde. Il a aussi saisi l'opportunité pour critiquer les attitudes anti-musulmanes, dans des propos qui semblaient dirigés contre Donald Trump. "Attaquer une croyance religieuse, c'est attaquer toutes nos croyances religieuses", a dit Obama.

 

"Pour les Américains, en particulier, nous devrions comprendre que c'est attaquer notre diversité, l'idée même que des gens d'origines différentes puissent vivre ensemble et se développer ensemble", a-t-il ajouté.

 

"Trop souvent, particulièrement dans les périodes de changements, particulièrement dans les périodes d'angoisse et d'incertitude, nous avons trop tendance à céder à une tentation basique de désigner quelqu'un d'autre, quelqu'un de différent, à qui reprocher nos difficultés", a poursuivi le président.

 

La présence de Barack Obama à cette cérémonie, au cours de laquelle a été honorée la mémoire de deux Américains et d'un couple de Polonais ayant sauvé des juifs durant la Seconde Guerre mondiale, témoigne aussi d'un dégel entre la Maison blanche et le gouvernement du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou.

 

 

 
LES LIBERAUX CRITIQUES POUR UNE DECLARATION DE STEPHANE DION SUR ISRAËL                    
La Press,  25 janvier, 2016

 

 

La pratique largement condamnée d'Israël consistant à construire des colonies sur des territoires revendiqués par les Palestiniens a fait l'objet d'une timide critique, lundi, provenant d'une source inhabituelle : le gouvernement du Canada.

Le ministre des Affaires étrangères, Stéphane Dion, a en effet cité la construction de colonies israéliennes et les démarches palestiniennes pour obtenir le statut d'État dans les forums internationaux comme étant deux obstacles à la paix. M. Dion réagissait aux reproches formulés à la Chambre des communes par l'opposition conservatrice, qui ont accusé le gouvernement libéral de faire preuve de trop de modération dans son soutien à Israël.

 

Les conservateurs de Stephen Harper avaient professé un appui inébranlable à l'État hébreu, se faisant reprocher par certains d'avoir accordé un rôle trop influent à Israël dans la politique étrangère canadienne. « En tant qu'allié et ami indéfectible d'Israël, le Canada demande que toutes les mesures possibles soient prises pour réduire l'incitation à la violence et la violence elle-même, et pour mettre en place les conditions propices à un retour à la table de négociation », a déclaré Stéphane Dion dans un communiqué exprimant de l'inquiétude concernant la récente vague de violence en Israël et en Cisjordanie.

 

Dans le communiqué, le ministre réitère le souhait de longue date du Canada que le conflit soit réglé par une solution fondée sur la coexistence de deux États et identifie les comportements problématiques de chacune des parties qui entravent les pourparlers : les colonies israéliennes et les tentatives palestiniennes pour obtenir unilatéralement le statut d'État. Les députés conservateurs Tony Clement et Peter Kent ont blâmé Stéphane Dion dans une déclaration écrite, l'accusant d'avoir fait un rapprochement entre les deux pratiques sans mentionner le rôle joué par le Hamas, que le Canada a inscrit sur sa liste des organisations terroristes.

 

M. Kent a plus tard soutenu aux Communes que les propos de M. Dion étaient « outrageusement vagues » et ne tenaient pas compte du fait que le Hamas et l'Autorité palestinienne avaient incité les Palestiniens à s'en prendre aux Israéliens. « Depuis des mois, nous assistons à un nombre croissant d'attaques mortelles contre des Israéliens menées par des Palestiniens encouragés par leurs leaders », a soutenu Peter Kent.

 

Stéphane Dion a rappelé que c'était un gouvernement libéral qui avait ajouté le Hamas à la liste des groupes terroristes en 2002 et a affirmé que le Canada était toujours déterminé à lutter contre l'organisation. Il a aussi indiqué que c'était au nom de la sécurité d'Israël que le Canada militait en faveur d'une solution fondée sur la coexistence de deux États. « Et tout geste unilatéral, comme les initiatives pour obtenir de manière unilatérale le statut d'État pour la Palestine ou la construction de colonies israéliennes, n'aident en rien le processus de paix. »

 

 

L’IMAGE D’ISRAËL DANS LE MONDE EST À LA FOIS FORMIDABLE ET HORRIBLE. POURQUOI ?

Raphael Ahren

Times of Israel, 16 janvier, 2016

 

 

Comment Israël est-il perçu dans le monde ? Cela ne pourrait pas aller mieux, selon le Premier ministre Benjamin Netanyahu. Cela n’a jamais été pire, rétorque ses opposants.

 

C’est un débat important, qui ne sert pas simplement à fournir du bon matériel pour des émissions politiques ou des discussions théoriques dans les commissions de la Knesset, mais pourrait donner des leçons cruciales aux producteurs de politique étrangère. Et les deux camps de ce débat ont des arguments valables.

 

Le camp « cela ne pourrait pas aller mieux » affirme qu’à une ère de terrorisme et de crises économiques mondiales, le monde civilisé est principalement intéressé par deux choses : se protéger du terrorisme islamique et avoir de bonnes relations commerciales avec les pays qui peuvent proposer quelque chose. Alors que beaucoup de dirigeants continuent à louer du bout des lèvres la cause palestinienne, pendant leurs réunions avec leurs homologues étrangers ils se concentrent sur les prouesses d’Israël dans les domaines du high-tech, de la cyber sécurité et du contre-terrorisme, sans même mentionner le processus de paix, selon Netanyahu.

 

Les géants asiatiques comme l’Inde, la Chine et le Japon ont soif de technologies israéliennes, se vante-il dans pratiquement tous ses discours, et malgré des querelles mineures avec l’Union européenne sur le problème palestinien, les relations bilatérales avec la plupart des pays européens restent excellentes, souligne-t-il.

 

« Il y a beaucoup de problèmes à l’échelle internationale. L’un de nos problèmes est le calendrier, il s’agit simplement d’un problème de calendrier », a déclaré fin novembre le Premier ministre – qui est également le ministre des Affaires Etrangères – se moquant des Cassandre en soulignant qu’il a à peine le temps de rencontrer tous les dirigeants mondiaux qui veulent le voir. « Quiconque parlerait d’un effondrement de nos relations avec les Etats-Unis, avec le monde en général et avec le monde arabe en particulier, se tromperait. »

 

Netanyahu faisait référence à la longue liste de dignitaires étrangers qu’il a rencontrés ou est sur le point de rencontrer. A la conférence de Paris sur le climat le mois dernier, il a parlé avec Barack Obama, Vladimir Poutine, François Hollande et les dirigeants de l’Inde, du Canada, de l’Australie, de l’Egypte, de Pologne, des Pays-Bas, de Grèce et de beaucoup d’autres pays, y compris des États arabes avec qui Israël n’entretient pas de relations diplomatiques.

 

« La position d’Israël est très forte. Les gens cherchent une relation de proximité avec nous, avait déclaré Netanyahu à ce moment. Ils comprennent qu’Israël est une puissance régionale majeure, et une puissance mondiale majeure dans les domaines des technologies et de l’informatique. Il n’y a quasiment personne qui ne m’a pas parlé de cela et ils comprennent aussi que nous pouvons aider dans la guerre contre le terrorisme et contre l’islam radical. C’est fort et sincère. » Les adhérents de l’école de pensée qui croient à l’isolation croissante d’Israël sur la scène internationale ne sont pas d’accord. Ils dépeignent plutôt une image sombre d’un pays assiégé, à qui il ne reste que peu d’amis sur la planète.

 

Le mouvement international de boycott a le vent en poupe, la plupart des pays du monde ont reconnu un Etat palestinien contre la volonté exprimée par Israël, l’Union européenne a commencé à étiqueter les produits issus des implantations à cause d’une querelle sans fin sur ce qui est perçu comme une intransigeance israélienne dans le processus de paix, les relations avec la Maison Blanche sont en lambeaux à cause de l’accord nucléaire iranien, et maintenant le Brésil refuse d’accepter l’ambassadeur désigné par Israël, Danny Dayan, parce qu’il est associé au mouvement des implantations.

 

« Cela n’a jamais été pire. Depuis 1948, notre statut international n’a jamais été aussi mauvais que maintenant », a déclaré en décembre au Times of Israel le député Yair Lapid, soi-disant ministre fantôme des Affaires Etrangères d’Israël…

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Shabbat Shalom !

 

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