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INFORMATION, DÉSINFORMATION, MÉSINFORMATION: GARE AUX FANTASMES ET AUX CANULARS

RADIO-CANADA ET LE CONFLIT ISRAÉLO-PALESTINIEN
Elias Levy

cjnews.com, 24 février 2012

Au cours de l’année 2011, les critiques à l’endroit de Radio-Canada sur sa couverture du conflit israélo-palestinien n’ont cessé de croître. Le Centre Consultatif des Relations Juives et Israéliennes (C.I.J.A.), instance représentative officielle des Juifs du Canada pour toutes les questions concernant Israël, a déposé à ce sujet plusieurs plaintes officielles auprès de l’Ombudsman de Radio-Canada.

 

Canadian Jewish News: Les griefs émis par le C.I.J.A. à l’encontre de Radio-Canada sont-ils fondés?

 

David Ouellette: Que les choses soient claires: le C.I.J.A. n’est pas en guerre contre Radio-Canada. Mais cette institution publique se fixe des normes journalistiques qu’elle bafoue systématiquement dès qu’il s’agit d’Israël. En ce qui concerne la couverture du conflit israélo-palestinien, Radio-Canada fait un travail absolument incompétent. Si ce n’est pas un biais anti-israélien, grief que Radio-Canada rejette catégoriquement, alors c’est de l’incompétence journalistique. À notre avis, dès qu’il s’agit d’Israël, à Radio-Canada, il y a un biais anti-israélien et de l’incompétence. Le C.I.J.A. s’emploie à analyser avec rigueur et objectivité les reportages consacrés à Israël et au conflit israélo-palestinien diffusés à la télévision et à la radio de Radio-Canada. Nous vérifions si les informations rapportées dans ces reportages respectent les normes journalistiques en vigueur à Radio-Canada. C’est-à-dire: si ces informations sont exactes et équilibrées. Nous avons constaté que ces informations sont rarement exactes et parfois même carrément contraires aux informations diffusées par d’autres grands médias. Le C.I.J.A. n’a pas l’intention de faire taire les critiques formulées contre Israël. Ce que nous relevons tout simplement dans la couverture du conflit israélo-palestinien de Radio-Canada, c’est une inexactitude dans les informations rapportées et un manque flagrant d’équilibre et d’impartialité.

 

C.J.N.: Quels types de plaintes avez-vous soumises à l’Ombudsman de Radio-Canada?

 

David Ouellette: Depuis 2008, nous avons soumis une dizaine de plaintes à l’Ombudsman de Radio-Canada. Dans la majorité de ces plaintes, ce dernier a conclu que des journalistes avaient enfreint dans leurs reportages les normes et pratiques journalistiques en vigueur à Radio-Canada. Par exemple, en réponse à notre plainte sur deux reportages de la correspondante de Radio-Canada au Moyen-Orient, Ginette Lamarche, sur des manifestations palestiniennes et une tentative d’infiltration d’Israël par des Palestiniens de Syrie, diffusés le 5 juin 2011, l’Ombudsman de Radio-Canada, Pierre Tourangeau, a établi que ces deux reportages contrevenaient aux principes d’exactitude et d’impartialité stipulés dans les normes journalistiques de Radio-Canada. Le 7 juillet 2011, Radio-Canada a reconnu que la journaliste Ginette Lamarche avait admis que la paraphrase d’un colon Israélien du Golan qu’elle a interviewé dans le cadre d’un reportage n’était pas fidèle aux propos tenus par celui-ci et qu’il existait une «différence significative» entre les propos imputés et les propos cités. En dépit du fait que l’Ombudsman de Radio-Canada a conclu dans sa révision que «la paraphrase des propos d’une personne interviewée ne respectait pas la valeur d’exactitude, telle que définie dans les normes et pratiques journalistiques de Radio-Canada», aucune correction ou mise au point ne fut apportée. Il aura fallu une nouvelle intervention du C.I.J.A. pour que Radio-Canada accepte de faire une mise au point. Cette dernière révision de l’Ombudsman de Radio-Canada démontre qu’entre les 5 et 7 juin 2011 la correspondante de Radio-Canada au Moyen-Orient n’a pas respecté le principe d’exactitude à trois reprises et a enfreint le principe d’impartialité, deux valeurs cardinales inscrites dans les normes journalistiques de Radio-Canada. Un autre exemple: dans une décision rendue le 21 novembre 2011, l’Ombudsman de Radio-Canada a conclu que «l’utilisation à l’émission 24 heures en 60 minutes d’une carte géographique erronée, confuse et incomplète présentant l’évolution des Territoires israélien et palestinien de 1945 à 2000, dont la source n’était pas identifiée, n’a pas respecté le principe d’exactitude, une des cinq valeurs à la base des Normes et Pratiques journalistiques de Radio-Canada»…

 

C.J.N.: On a l’impression que le C.I.J.A. focalise ses critiques uniquement sur Radio-Canada alors qu’on sait pertinemment que d’autres médias francophones québécois n’excellent pas non plus dans leur couverture journalistique du conflit israélo-palestinien.

 

David Ouellette: Le C.I.J.A. prête une attention particulière à Radio-Canada parce que cette Institution est un grand Réseau d’Information national et une Société d’État financée avec les taxes payées par les contribuables Québécois et Canadiens. Dans l’univers des médias québécois, il n’y a que Radio-Canada qui a un Ombudsman dans ses bureaux, des normes et des pratiques journalistiques qui lui sont propres et un correspondant permanent au Moyen-Orient. Nous avons donc le droit de demander que Radio-Canada soit un média d’excellence, qui devrait pratiquer un journalisme exemplaire en ce qui concerne Israël, le conflit israélo-palestinien et le Proche-Orient. Malheureusement, c’est loin d’être le cas. Nous sommes conscients que l’objectivité ça ­n’existe pas. Mais en ce qui a trait au conflit israélo-palestinien, Radio-Canada devrait être capable de faire un travail équilibré, impartial et fouillé. Par ailleurs, Radio-Canada est une source de référence incontournable pour les autres journalistes Québécois. Si Radio-Canada travaille mal, ça se reflète dans le travail effectué par les journalistes des autres médias québécois, qui sont très influencés par ce qu’ils voient et entendent à Radio-Canada.

 

C.J.N.: Mais après avoir reconnu qu’une ou des erreurs ont été commises dans un reportage, Radio-Canada ne prend-elle pas les dispositions nécessaires pour apporter des correctifs?

 

David Ouellette: Quand l’Ombudsman de Radio-Canada reconnaît qu’il y a eu une ou des erreurs dans un reportage, un rectificatif, écrit en caractère gris sur fond blanc, est apporté en bas d’une page du site web de Radio-Canada. Il faut vraiment faire un effort pour repérer la correction en question.

 

C.J.N.: Donc, d’après le C.I.J.A., Radio-Canada ne prend pas les mesures requises pour corriger ces erreurs?

 

David Ouellette: La Direction de l’Information de Radio-Canada peine à solutionner ce problème. L’Ombudsman de Radio-Canada, Pierre Tourangeau, qui fait un travail fort sérieux, a une latitude d’action assez restreinte. Son mandat se limite à analyser les plaintes et à faire des recommandations. Ensuite, c’est à la Direction de l’Information de Radio-Canada de décider comment elle compte rectifier les erreurs soulignées par l’Ombudsman. Nous n’avons pas encore vu des grandes corrections ni des changements majeurs dans la manière dont les journalistes de Radio-Canada couvrent le conflit israélo-palestinien et l’actualité du Proche-Orient. Au contraire, les choses n’ont fait que s’empirer. C’est ça qui est très frustrant. On pourrait soumettre une plainte presque pour chaque reportage que Radio-Canada fait sur Israël. L’Ombudsman de Radio-Canada ne cesse de nous donner raison en reconnaissant que des journalistes de cette Institution ont erré ici ou là. Mais, concrètement, on ne constate aucune amélioration. […]

CHRONOLOGIE DES VIOLENCES DANS LE SUD
Laly Derai

hamodia.fr, 14 mars 2012

Tout a commencé vendredi avec l'élimination ciblée par Tsahal d'un chef terroriste palestinien, près de Gaza. Cette opération «chirurgicale» a été immédiatement suivie par des tirs massifs de roquettes et de Grad palestiniens qui paralysèrent le Grand Sud d'Israël, et permit aux Israéliens de découvrir les bienfaits du «Dôme d'acier». Hamodia revient sur les quatre journées marquantes de ce nouveau round de confrontation entre Israël et les terroristes palestiniens de Gaza.

Vendredi 9 mars, dans l'après-midi: Un appareil de l'armée de l'air de Tsahal élimine dans un quartier situé à l'ouest de Gaza le secrétaire général des Comités de résistance populaire, Musa Ahmed Zuhair El Kaisi et son bras droit Mahmoud Hanani qui circulaient à bord d'un véhicule. Selon l'armée, El Kaisi qui est considéré comme le «cerveau» de l'attentat perpétré en août dernier à la frontière israélo-égyptienne, projetait une autre attaque du même type.

Vendredi soir: À 22 h, trois missiles Grad sont tirés sur Ashdod et Gan Yavné. Le système de protection anti missile «Dôme d'acier» neutralise le plus dangereux. Les deux autres tombent dans des terrains vagues. Peu après, les terroristes du Djihad islamique et leurs alliés des comités de résistance palestinienne tirent plusieurs salves de roquettes Kassam sur les localités du pourtour de la bande de Gaza. Quatre personnes sont blessées, dont une sérieusement. C'est ensuite à Béer-Chéva que la sirène d'alerte se fait entendre. Des roquettes sont tirées sur la capitale du Néguev ainsi que sur la ville de Nétivot. Elles sont interceptées par «Dôme d'acier». La Défense passive interdit les rassemblements de plus de 500 personnes dans un périmètre de 40 km autour de la bande de Gaza. Les habitants des villes du sud, jusqu'à Ashdod dorment ce Chabbat-là dans les chambres blindées ou les abris. Pendant la nuit, Tsahal détruit quatre rampes de lancement et deux usines de production d'armes. Douze terroristes palestiniens sont tués.

Chabbat 10 mars: Deux salves de roquettes réveillent vers 6 h les habitants du sud du pays et les sirènes retentissent dans toute la région. Deux roquettes sont tirées sur Ashdod et Gan Yavné. Au total 80 roquettes et missiles ont été tirés depuis la veille.

L'état-major de Tsahal se réunit d'urgence. Le chef d'état-major, Benny Gantz, affirme: «Nous réagirons avec fermeté à tout tir». La Défense passive annonce que tous les établissements scolaires resteront fermés le lendemain dans un rayon de 40 km autour de la bande de Gaza.

Dimanche 11 mars: Une roquette tombe dans un quartier résidentiel de Béer-Chéva. Des dommages importants sont constatés. Quelques minutes plus tard, une école est touchée de plein fouet par un Grad. Des roquettes sont tirées sur Ofakim, Gan Yavné et Ashdod.
 

Parmi les douze roquettes tirées sur Ashdod, Ashkélon et Béer-Chéva, dix sont neutralisées par le Dôme d'acier. À Gaza, Tsahal élimine un terroriste qui s'apprêtait à tirer un missile. Le chef d'état-major, Benny Gantz, explique que sur les 120 roquettes tirées sur Israël, 40 ont été stoppées en plein vol par les missiles du Dôme d'acier et il s'agit des 40 qui menaçaient de s'abattre sur des zones habitées. Selon la télévision palestinienne, les dirigeants du Hamas à Gaza tentent d'obtenir un cessez-le-feu. Mahmoud A Zahar se rend au Caire pour en débattre. Le Djihad islamique qui orchestre les tirs affirme «ne pas être concerné» par ces discussions. Mais Israël, encouragé par les performances du «Dôme d'acier» repousse la proposition de cessez-le-feu essentiellement parce que les terroristes la conditionnent à l'arrêt des éliminations ciblées. Des sources palestiniennes affirment que Tsahal a attaqué un bâtiment à Djébalia, blessant une vingtaine de personnes.

Lundi 12 mars: Le porte-parole de Tsahal Yoav Mordé’haï annonce que l'armée a détruit depuis vendredi 23 rampes de lancement, des usines de production d'armes et des hangars de munitions dans la bande de Gaza. L'armée souligne que des dizaines de roquettes tirées par les terroristes n'ont pas atteint Israël et sont tombées dans la bande de Gaza.

Durant la nuit de dimanche à lundi, la sirène retentit à deux reprises à Béer-Chéva et dans ses alentours. Deux missiles Grad sont tirés sur la ville, l'une d'entre elles est neutralisée par le «Dôme d'acier», la seconde tombe dans un pré. Neuf roquettes Kassam prennent pour cibles les localités du Sud. L'une d'entre elles tombe très tôt le matin tout près d'un jardin d'enfants, causant de graves dégâts matériels. Dans une volonté de faire fléchir Israël, le Djihad accentue le rythme de ses tirs: trois missiles Grad sont tirés sur Béer-Chéva, dont deux neutralisés par Dôme d'acier. Même réussite quelques minutes plus tard au dessus d'Ashdod. Un missile frappe la région d'Echkol et deux autres explosent près de Sdérot. Deux roquettes atteignent le poste de passage de Kerem Chalom endommageant deux camions.

Dans l'après-midi, les terroristes augmentent la portée de leurs missiles: deux Grad touchent Guédéra, l'un d'eux détruit des véhicules. Quelques personnes sont choquées.
Une autre roquette tombe sur Ashdod, causant de sérieux dommages à plusieurs magasins et à des voitures. Une dame âgée est touchée par des débris. Trois missiles atteignent Béer-Chéva et Ofakim. Deux d'entre eux sont interceptés par le Dôme d'acier.
 

Quatre missiles visant Ashdod sont neutralisés en plein vol. Après quelques heures d'accalmie tendue, trois Grad sont tirés vers Ashkélon, deux sont interceptés. Pas de dégâts. En fin de soirée, un responsable égyptien annonce qu'un cessez-le-feu entre Israël et les terroristes de Gaza prendra effet à 1 h. Tsahal dément dans un premier temps et déclare seulement: «Nous répondrons au calme par le calme.»

 

Mardi 13 mars, à 4 heures, le cessez-le-feu est violé: deux obus de mortier tombent près d'Ashkélon.

Bilan de ce round de confrontation: en trois jours et demi de combats, 222 roquettes et missiles se sont abattus sur Israël. 56 d'entre eux ont été neutralisés par le Dôme d'acier. Tsahal a attaqué 37 objectifs terroristes dans la bande de Gaza, une vingtaine de Palestiniens tués pour la plupart des terroristes, et plusieurs Israéliens blessés, dont un sérieusement.

LA MACHINE DE PROPAGANDE PALESTINIENNE EN MARCHE
Shraga Blum

Upjf.org, 14 mars 2012

 La machine bien huilée de la propagande arabe palestinienne s’est une nouvelle fois mise en marche depuis samedi. Les terroristes et leurs alliés se sont empressés de diffuser sur le Net des images fabriquées pour montrer «la cruauté» israélienne. Le site «New-Media» du porte-parole de Tsahal a repéré au moins deux cas d’images empruntées à des archives et qui ont été présentées comme étant des photos d’actualité. Sous le titre «La Palestine saigne, encore une enfant tuée» les terroristes diffusent leur propagande mensongère destinée à délégitimer Israël. Or, l’une des photos, prises par l’agence «Reuters» date de 2006…et montre une fillette qui avait été blessée en tombant de bicyclette, mais présentée par son père comme «victime des bombardement israéliens».
 

C’est une tactique extrêmement courante chez cette population pétrie d’une mentalité religieuse qui pousse au mensonge, comme cela été magistralement prouvé lors de la victoire judiciaire du Dr. David Yehouda sur Jamal Al-Dura. L’agence «Reuters» s’était ensuite excusée et avait tenté de diffuser un rectificatif sur Twitter et Facebook concernant cette photographie. Mais pour les terroristes, cette photo continue de servir d’outil grossier de propagande.

Dans le deuxième cas, une photo montre un bâtiment détruit, cliché qui a été pris lors de l’Opération «Plomb Durci» et qui montrait un bâtiment qui contenait un entrepôt d’armement. L’état-major de Tsahal a demandé aux habitants du sud du pays de prendre des photos des habitants dans les abris ainsi que des dégâts faits par les roquettes et missiles, afin des les diffuser sur le Net et le présenter à la presse étrangère toujours encline à ne croire que la version palestinienne des faits.

LA DÉSINFORMATION BAT SON PLEIN
SUR TWITTER ET FACEBOOK

Ray Achled

guysen.com, 12 mars 2012

 Une photo mise en ligne au cours des 24 dernières heures sur Twitter, la photo d’une fillette palestinienne de Gaza fait le tour de la planète et sa légende accuse à tort Tsahal d’être responsable de sa mort.

 

La photo, publiée par Khulood Badawi (@KhuloodBadawi) et plus tard par Diana Alzeer (@ManaraRam), présentait une fillette palestinienne tuée dans un raid israélien du 11 mars. Après vérification, il s’est avéré qu’il s’agissait d’une photo prise en 2006 et que Tsahal n’était en rien responsable de sa mort. Cette photo est aujourd’hui le post qui apparaît en tête de liste sur Twitter par la recherche du mot clé #Gaza sur Twitter et a été reprise plus de 300 fois, en dépit l’évidence. Badawi a été le premier à «tweeter» la photo le 10 mars à midi, assurant que cette dernière avait été prise lors d’une des «frappes survenues dans la nuit contre la bande de Gaza.» Alzeer l’a à son tour publiée le lendemain en reprenant les mêmes accusations.

 

Le caractère infondé de ces allégations a d’abord été démontré par l’internaute Avi Mayer (@avimayer) qui a rappelé que la photo avait déjà été publiée une première fois en 2009. Des recherches plus approfondies ont montré que le cliché datait en réalité de 2006 et avait été diffusé par Reuters et que la fillette palestinienne était simplement tombée d’une balançoire. Alzeer a réagi en affirmant que la photo avait été transmise par la presse durant la journée.

 

En fait, la photo a été prise par Reuters le 9 août 2006 et envoyée à la presse avec une légende incorrecte. L’information n’a été rectifiée que le lendemain:

 

Un Palestinien porte le corps de Raja Abu Shaban, âgée de trois ans, à Gaza, le 9 août 2006. La fillette présentée initialement comme victime d’un raid israélien sur Gaza mercredi est en réalité décédée dans un accident, ont indiqué jeudi les secours palestiniens. Des employés de l’hôpital Shifa, à Gaza, ont précisé que l’erreur avait été faite en raison d’une surcharge des services au moment de l’arrivée de la jeune fille et du rapatriement simultané de corps d’hommes armées par les ambulanciers. REUTERS, Mohammed Salem (Territoires palestiniens).

 

Contraint d’admettre l’évidence, Alzeer a plus tard posté des excuses en retirant ses accusations. Badaw n’a pas encore répondu. Pendant ce temps, les premiers «tweets», qui ont déjà été repris des centaines de fois par des internautes du monde entier, continuent de circuler sur le web en dépit de leur caractère fallacieux. Ce n’est pas la première fois que des internautes diffusent de fausses informations au sujet de Tsahal. Les mensonges sont encore repris sur les réseaux sociaux et diffusés en masse sur internet. […]

GAZA: L'ENFANT PALESTINIEN MORT D'UNE BALLE
TIRÉE PAR UN PARTICIPANT AUX FUNÉRAILLES
ET NON PAS PAR UN RAID DE TSAHAL

Dépêche

guysen.com, 14 mars 2012

 L'enfant palestinien de 7 ans qui a succombé à ses blessures causées, selon les médias palestiniens, par un raid de Tsahal sur Gaza, a été tué, en fait, par une balle perdue provenant d'un tir de mitraillettes d'un participant à des funérailles d'un terroriste éliminé, selon la famille et des témoins oculaires, rapporte le Huffington Post.

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