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JOYEUX NOËL À NOS AMIS CHRÉTIENS

  

    

 

 

EXTRAIT DE SEPT ANNÉES À JÉRUSALEM

Julien Bauer

Éditions du Marais, 2012

 

 

En décembre 1964, j’étais à Jérusalem. J’avais remarqué que l’atmosphère n’indiquait pas l’arrivée de Noël et j’avais plaint les Chrétiens. Il m’a fallu un certain temps pour me rappeler qu’à Paris rien n’indiquait Rosh Hachana, le Nouvel an ou Pâque. À l’époque, la frontière entre Israël et la Jordanie était ouverte à Noël pour permettre aux prêtres et aux diplomates d’assister à la nuit de la Nativité à Bethléem, sous contrôle jordanien. Je me suis présenté au Consulat de France et ai demandé d’être placé sur la liste des personnes envoyées aux autorités jordaniennes pour avoir le droit d’assister à la messe à Bethléem. Hors de question m’a-t-on répondu, vous n’êtes pas catholique et la Jordanie exige une preuve d’appartenance au christianisme. Le Roi Hussein de Jordanie, considéré comme un modéré, avait trouvé ce moyen pour interdire aux Juifs, non pas seulement aux Israéliens, l’accès à la Jordanie. La France acceptait cette discrimination officielle. Aucun problème, ai-je signalé, je connais un curé qui est prêt à écrire qu’il m’a baptisé et que je suis un bon catholique. Non, au cas où la Jordanie découvrirait que vous êtes Juif, vous seriez arrêté. Nous finirons au bout de quelques mois à obtenir votre libération, mais vous ne seriez pas beau à voir. J’ai offert de signe rune déclaration dégageant le Consulat de France de toute responsabilité, mais le refus a été maintenu.

 

Le second choix a été d’assister à la messe de minuit à Notre-Dame de France à Jérusalem. Cette église, comme son nom l’indique, relevait de la France et était située sur la ligne de démarcation, la majeure partie en Israël, une petite partie en Jordanie.

 

Le 24 décembre, peu avant minuit, je frappe la porte de Notre-Dame de France. Un jeune Israélien arabe chrétien me demande en hébreu : « Ata Nostri ? » — « Es-tu chrétien ? » — « Non, je suis Juif », — « Alors, tu n’as rien à faire ici. » — et il me claqua la porte au nez. Scandalisé par cette attitude, je frappe à nouveau à la porte et préviens le cerbère qu’après Noël, lorsque les bureaux seraient ouverts, j’irais porter plainte contre lui ai Consulat. Il m’a dit qu’il ne faisait qu’obéir aux ordres du curé. J’ai suggéré de faire changer les ordres. Peu après, le gardien revient et me dit qu’exceptionnellement je pouvais entrer, mais que je devais savoir que la messe durerait de quatre à cinq heures (ce que je savais être faux) et qu’il faudrait bien me conduire(ce à quoi, j’ai répondu que je n’avais pas besoin d’un curé pour m’apprendre la politesse). La messe était sinistre. Tous ceux qui le pouvaient étaient à Bethléem, les participants étaient surtout des sœurs et des personnes âgées qui avaient du mal à se déplacer. Le moins que l’on puisse dire est que cette première rencontre avec des Chrétiens à Jérusalem n’était pas une réussite.

 

La semaine suivante, me promenant dans les rues de Jérusalem, je vois le local brillamment illuminé. Je vais voir et des personnes m’invitent à assister à assister à une célébration religieuse protestante pour le Nouvel An. Je leur signale que je ne suis pas protestant mais Juif. « Venez donc, nous allons chanter des Psaumes du Roi David, vous devez les connaître ». « Et alors, vous êtes le bienvenu. Prenez de ces gâteaux, ils sont « cacher », pas les autres qui ne le sont pas ! ». Cette deuxième rencontre avec des Chrétiens à Jérusalem était des plus plaisante.

 

Cette différence d’attitude, de la plus fermée à la plus ouverte, est une caractéristique de Jérusalem. Ceci s’explique, entre autres, par la situation difficile des Chrétiens au Proche-Orient.

 

 

 

 

 

NETANYAHU: « J’AI UNE PROPOSITION

À FAIRE À NOS AMIS CHRÉTIENS »

europe-israel.org, 25 décembre 2017

 

 

 

A la veille de Noël, le Premier ministre Benjamin Netanyahu, à Jérusalem, souhaite à tous les amis chrétiens de l’Etat juif un Joyeux Noël, se déclarant fier que les chrétiens non seulement survivent mais prospèrent en Israël, contrairement à tous les autres pays du Moyen-Orient.

 

 « J’ai l’immense plaisir de m’adresser à vous à coté de ce sapin de Noël, ici derrière moi à Jérusalem, la ville Sainte. Je suis vraiment fier d’être le premier ministre d’Israël, un pays qui souhaite un merveilleux Noel à ses citoyens chrétiens d’Israël et à ses amis chrétiens partout sur la planète.

 

Je suis fier qu’en Israël les chrétiens ne font pas que survivre mais prospèrent parce que nous croyons en l’amitié entre les peuples et nous protégeons le droit de chacun, par exemple le droit de dresser ce joli sapin derrière moi.

 

J’ai une proposition à faire à nos amis chrétiens… je vais prendre, le temps l’an prochain pour tout ceux qui viennent à Jérusalem durant les célébrations de Noël et JE SERAI VOTRE GUIDE POUR VISITER tout les lieux chrétiens: le bateau de Jésus dans les eaux de Galilée, vous pouvez aller au Saint Sépulcre, juste derrière moi, dans n’importe quel lieu que vous souhaitez visiter où Jésus a posé le pied, dans chaque lieu où ont émergé l’origine de notre héritage judéo-chrétien. Donc n’hésitez pas à venir en Israël, l’an prochain à Jérusalem et joyeux Noël à tous. »

 

 

 

 

CE QUE LES FÊTES DE NOËL ET HANOUKA ONT EN COMMUN

Maurice-Ruben Hayoun

23 dec., 2016

 

 

 

Est-ce un signe, un signal émis par je ne sais quelle intelligence cosmique, quel intellect divin? Deux religions, issues l'une de l'autre mais séparées, jusqu'à une date récente, par près de deux millénaires de brouilles et de fâcheries (et je suis gentil en parlant ainsi) vont enfin fêter, non pas ensemble, mais au même moment, l'une la purification de son inoubliable Temple de Jérusalem, l'autre la naissance de celui auquel elle doit son nom, sa vision du monde et même sa raison d'être.

 

Christianisme et judaïsme, judaïsme et christianisme. Certes, mise à part cette coïncidence de calendrier, les deux fêtes n'ont en commun que la joie de la célébration et non point un objet de vénération réellement équivalente. Pour les Juifs, Hanouka est un miracle, le miracle d'une fiole d'huile sacrée qui n'avait pas été souillée par le culte idolâtre des païens, tandis que Noël fête la naissance du Christ qui, pour plus d'un milliard et demi de chrétiens donne depuis deux mille ans un sens à leur vie. Les deux grandeurs ne sont donc pas comparables.

 

Maints automobilistes, mais aussi plus d'un piéton, se sont demandés ce que signifiaient ces affiches qui fleurissent régulièrement sur nos murs parisiens, au courant du mois de décembre… Que montrent-elles? On y distingue nettement les lumières d'un magnifique chandelier à sept branches, surmonté d'un visage d'enfant rayonnant.

 

S'agit-il d'un message publicitaire qui appelle à espérer la fin de l'hiver, à accepter le peu d'ensoleillement dans l'attente de temps meilleurs? Pas vraiment. Il s'agit de la fête de Hanouka qui est une fête juive, célébrée en son temps par Jésus lui-même et sa famille, une fête très suivie, parce que peu contraignante et très peu ritualisée, porteuse d'un symbolisme puissant et pourtant dépourvue de toute référence biblique, à l'exception des livres I et II non canoniques des Macchabées. C'est donc une fête extra biblique. Le terme hébraïque Hanouka signifie inauguration (du Temple purifié et re-sanctuarisé).

 

Vers 175 avant l'ère chrétienne, la monarchie séleucide se donne un nouveau roi, Antiochus IV Epiphane, qui, moins de huit années après son couronnement, impose à Jérusalem et à la Judée, des divinités grecques au sein même du Temple… En 166 avant JC, le grand prêtre Mattathias brandit l'étendard de la révolte et remporte quelques succès militaires initiaux. A sa mort, son fils Juda Macchabée marque lui aussi de nombreux points au plan militaire. Il ordonne alors la purification du Temple souillé par les idoles et procède à l'installation d'un nouvel autel. Les prêtres se mirent aussitôt en quête des fioles d'huile sacrée afin d'allumer le chandelier à sept branches, appelé menorah (Exode 25; 31s). C'est alors, nous dit la tradition talmudique (Shabbat fol. 21b-22a) que se produisit le miracle de Hanouka (consécration ou inauguration). Il ne restait malheureusement plus qu'une seule fiole d'huile sacrée, pieusement scellée et cachée par le grand prêtre. Elle n'aurait dû brûler qu'un seul jour et voilà qu'elle maintint le chandelier allumé pendant une huitaine!

On retiendra de ce récit hagiographique ce que l'on voudra car le miracle, comme disait Ernest Renan, s'opère d'abord dans l'âme de celui qui le vit et, par là même, lui confère le droit d'exister… Examinons de plus près les ingrédients de ce prodige… qui contient quelques éléments de vérité.

 

Pourquoi huit jours? Parce qu'il fallait bien ce temps là pour la cueillette des olives, les presser, en extraire l'huile et la purifier pour assurer une combustion convenable. Mais la symbolique de ce chiffre est plus étendue: la Bible considère que la création, sabbat compris, a duré sept jours et que le huitième caractérise l'aube de la sainteté et de la transcendance. Il faut aussi huit jours avant de circoncire les nouveau-nés. Enfin, le chiffre sept symbolisant l'ordre de la nature, le chiffre suivant, le huit, marque le passage vers un ordre plus élevé, spirituel…

 

Chaque soir, à la nuit tombée, les familles se réunissent autour d'un petit chandelier qui comporte huit emplacements auxquels s'ajoute un neuvième, pour allumer une bougie qui se consumera dans un espace déjà éclairé car les lueurs de la hanoukiya ne servent qu'à rappeler le miracle de la fiole d'huile sacrée… Le talmud a mentionné trois modes opératoires: chaque soir, on allume une bougie unique durant huit jours; chaque soir, un nouveau membre de la famille allume une bougie unique durant huit jours; et enfin, le rite familial qui a fini par s'imposer: chaque soir, on allume une bougie nouvelle, et le huitième jour le chandelier brille de tous ses feux… comme sur les affiches publicitaires! Des bénédictions sont récitées lors de l'allumage des bougies ainsi qu'un Psaume qui parle justement de l'inauguration du temple par le roi David (par anticipation); on conclut la cérémonie par le chant ma'oz tsur (Ps 31;5: forteresse, rocher où je me réfugie…)

 

La tradition juive qui n'a guère de goût prononcé pour les expéditions guerrières a surtout mis en valeur le miracle des fioles, ne mentionnant les hauts faits d'armes des Macchabées que du bout des lèvres. Mais elle a tenu à ce que cette fête soit celle des enfants, celle du triomphe de la lumière sur les ténèbres, de la culture de vie sur la culture de mort. Cette fête qui dure huit jours n'implique ni repos absolu ni solennité particulière, elle épouse les contours mouvants de l'existence humaine. Elle nous enseigne que l'on peut gagner une guerre en faisant couler l'huile et non le sang; que les guerres de religions sont désuètes et ne servent à rien sinon à accroître le nombre de morts. On gagne vraiment une guerre quand on apporte la lumière pour tous ceux qui veulent la recevoir. Même pour les ennemis d'hier qui sont appelés à devenir les protagonistes de demain.

 

Noël est effectivement bien plus important pour la conscience chrétienne qui voit en Jésus à la fois le prophète et le Messie. Nous n'entrerons pas dans la discussion séparant le Jésus de la tradition du Jésus de l'Histoire. Dans la mesure où les mortels que nous sommes peuvent faire des paris que sur l'avenir et doivent accepter le passé tel qu'il est car on ne peut rien y changer, les lumières de Hanouka et celles des sapins de Noël symbolisent, au fond, la même chose: l'espoir d'une vie illuminée par des valeurs de vie, la victoire de la lumière sur l'obscurité, quelle qu'elle soit, physique ou spirituelle. C'est la crèche qui donne au sapin sa coloration chrétienne, ce sapin provient des tribus germaniques du grand nord où il symbolisait par sa verdeur la victoire sempiternelle de la vie sur la mort.

 

Hanouka, comme Noël, est la fête de l'humanité civilisée qui croit en des valeurs messianiques.

 

 

 

Actualité 

 

 

 

 

 

LE GUATEMALA ANNONCE LE TRANSFERT DE SON AMBASSADE DE TEL-AVIV À JÉRUSALEM

Axel Rehouv

Europe-Israel, 25 dec., 2017

 

 

 

Le président Jimmy Morales annonce dans un message posté sur sa page Facebook officielle le déplacement de son ambassade en Israel de Tel Aviv à Jérusalem. Il s’agit du premier pays à suivre la décision des Etats-Unis.

 

« Cher peuple du Guatemala, j’ai parlé aujourd’hui avec le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu. Nous avons d’excellentes relations et avons toujours eu, depuis que le Guatemala a soutenu la création de l’état d’Israël (en 1948).

 

L’une des questions les plus importantes a été l’installation de l’ambassade du Guatemala à Jérusalem.

C’est pourquoi je vous informe avoir donné l’instruction à la chancelière pour qu’elle entame les démarches en ce sens. Dieu vous bénisse. »

 

Le Guatemala est l’un des neufs pays qui a voté contre l’ordre du jour initié par l’Egypte, la Turquie et la France, condamnant le choix de Washington d’installer son ambassade à Jérusalem.

 

Les relations entre Israel et le Guatemala sont solides et sincères. Ce n’est pas une coïncidence si Israël a toujours été le premier à offrir une aide humanitaire au Guatemala après des catastrophes naturelles.

L’Etat juif a une dette de gratitude envers ce pays d’Amérique centrale.

 

Beaucoup de Guatémaltèques rappellent avec fierté le rôle de leur pays dans la création de l’Etat d’Israël.

 

Jorge Garcia Granados, ambassadeur guatémaltèque à l’ONU, membre du Comité spécial des Nations Unies pour la Palestine et a exercé des pressions pour obtenir des voix au nom de l’État juif. En fait, le Guatemala a été parmi les premiers pays à reconnaître Israël. Ce faisant, le Guatemala a créé un «effet papillon», amenant de nombreux autres pays latino-américains à se joindre au soutien de la création du nouvel État.

 

Beaucoup de Guatémaltèques ont tendance à parler avec beaucoup d’affection d’Israël et pour cause, Israel a contribué à former et équiper les services de sécurité du pays. Le Guatemala souffre d’un niveau élevé de violence, de meurtres et de vols et provoque un sentiment quotidien d’insécurité pour le peuple; la plus grande part de cette violence est liée au trafic de drogue, à la criminalité urbaine, aux gangs et aux armes à feu illicites.

 

Israel a équipé le Guatemala des dernières technologies pour permettre à ce pays de réduire drastiquement les crimes et délits du quotidien.

 

Le Guatemala sera donc le premier pays à installer son ambassade à Jérusalem.

 

 

 

 

NADAV ARGAMAN DIRECTEUR DU SHIN BET : « CE NE SONT PAS MOINS DE 400 ATTENTATS D’ENVERGURE QUI ONT ÉTÉ DÉJOUÉS DURANT L’ANNÉE 2017 »

Europe Israel, 25 dec., 2017

 

 

La multiplicité des « petits attentats » commis par des initiatives individuelles conséquentes à l’incitation en provenance du Hamas et de l’Autorité Palestinienne fait parfois oublier que les organisations terroristes ne chôment jamais et préparent à longueur d’année des attentats d’envergure.

 

Si ces actions ne sont pas menées jusqu’au bout, c’est principalement grâce au travail permanent et erreintant de la police, de Tsahal et du Shin Bet, effectué loin de nos yeux.

 

Le directeur du Shin Bet, Nadav Argaman était dimanche matin l’invité de la commission des Affaires étrangères et de la Défense devant laquelle il a passé en revue les activités de son organisation durant l’année 2017. Il a rappelé que la sphère arabe palestinienne est toujours aussi instable et agressive, que le Hamas tente de perpétrer des attentats d’envergure et que l’Autorité Palestinienne, tout en se démarquant officiellement de l’action violente l’encourage par divers moyens commme l’incitation, les appels à la « résistance » ou la glorification des terroristes.

 

Concernant l’efficacité du Shin Bet et des autres intervenants, Nadav Argaman a fourni un chiffre qui fait froid dans le dos: ce ne sont pas moins de 400 attentats d’envergure qui ont été déjoués rien que pour cette année, soit en moyenne plus d’un par jour!! Dans ce chiffre, on compte 13 tentatives d’attentats-suicides et huit tentatives d’enlèvements. Par ailleurs, plus de 1.100 attentats de terroristes isolés ont été empêchés grâce à un réseau de renseignements particulièrement performant.

 

Des données qui montrent à quel point les différentes organisations terroristes – Autorité Palestinienne incluse – ne baissent pas d’intensité dans leur volonté de tuer des juifs. Elles forcent également l’admiration envers les différentes agences et forces de sécurité qui s’activent jour et nuit pour notre sécurité et méritent notre gratitude autant que notre admiration.

 

Le directeur du Shin Bet a également révélé un fait extrêmement grave: l’Autorité Palestinienne ne se contente pas de verser des salaires aux terroristes arabes palestiniens détenus en Israël ou aux familles des terroristes morts, mais également aux familles des terroristes arabes israéliens!

 

Nadav Argaman a prévenu les membres de la commission que le « calme » relatif qui règne n’est que factice et que la situation peut exploser à tout moment.

 

 

 

 

TOP 11 DES HABITUDES TYPIQUES DES JUIFS TRADITIONALISTES

David Krief

Jewbuzz, 15 dec., 2017

 

 

Le peuple juif a cette chance d’avoir en son sein des membres aux origines diverses : tunisiens, marocains, ashkénazes, éthiopiens, etc… Parmi eux, la majorité se définit comme « traditionalistes ». Par choix ou par manque de connaissances, ils pratiquent peu mais se sentent profondément juifs. Avec humour, voici le top 11 habitudes des juifs traditionalistes en France.

 

11 : Tu as l’interdiction de sortir le vendredi soir

 

Même si tu n’es pas chomer(et) shabbat, tu ne sors jamais de chez toi le vendredi soir, c’est comme ça.

 

10 : Tu manques toujours de kippot chez toi…du coup tu la fabriques toi-même avec du sopalin :

 

9 : Tu francises tous les mots A Pessah toujours, tu ne manges pas des « matzots » mais des « galettes« , ton fils fait sa « communion » et tu portes une « calotte«  pendant la « prière« …

 

8 : Tu vas à la synagogue uniquement pour Kippour Les femmes font très attention à être bien maquillées et les hommes n’arrivent qu’à la neïla, le « taleth » sous le bras et un carreau de sucre dans la poche, « au cas où ». A noter qu’hommes et femmes se retrouvent sous ce même talith pendant le son du choffar qui clôture le jeune.

 

7 : Tu ne manges pas de viande à TishaBeAv Tu n’as jamais su pourquoi mais c’est comme ça, pas de viande pendant le « gayne ». A la plage, tu fais aussi attention à ne pas trop t’éloigner du bord quand tu vas dans l’eau, « on sait jamais ».

 

6 : Ton Pessah se résume à ne pas manger de pain Loin de toi toutes les discussions sur la cacheroute des pâtes, les kitniot ou le dentifrice cacher lePessah, toi ton seul souci est de ne pas manger de pain. Tu achètes donc des « galettes » mais attention, toujours la même marque : « La Bienfaisante ».

 

5 : On te répond « je sais pas c’est comme ça » quand tu demandes des explications sur une fête juive Tu fais les fêtes de génération en génération sans trop savoir pourquoi, mais tu es incollable au moins sur une chose : les lois de deuil. Sûrement grâce à ta grand-mère, qui t’avait dit que son père était rabbin dans son pays.

 

4 : Tu glisses ton petit papier au Mur des Lamentations Evidemment tu le fais en portant le fil rouge que tu viens d’acheter. Et bien sûr, tu vouvoies D.ieu dans tes prières.

 

3 : Tu manges le fish au McDo Et quand on te fait la remarque, tu réponds toujours : « Ça vaaaa c’est du poisson »

 

2 : Tu baisses le son de la TV pour le kiddouch

 

C’est la scène typique qui a lieu dans toutes les familles traditionalistes, juste avant de regarder Koh-Lanta en famille.

 

1Tu fais le kiddouch grâce à ce livre

 

Toutes les familles traditionalistes ont ce livre en leur possession. Évidemment tu ne lis les « prières » qu’en phonétique.

 

Joyeux Noël à nos amis chrétiens

 

 

 

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