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L’AUTORITÉ PALESTINIENNE PARLE DE PAIX, MAIS SES MANUELS SCOLAIRES ENSEIGNENT LA HAINE… TROUVEZ L’ERREUR

LES NOUVEAUX MANUELS SCOLAIRES PALESTINIENS “ENSEIGNENT AUX ÉLÈVES À ÊTRE DES MARTYRS”

Times of Israel, 4 avr., 2018

 

Les nouveaux manuels scolaires de l’Autorité palestinienne (AP) pour les élèves d’écoles primaires diabolisent Israël et glorifient le « martyr », affirme un rapport publié dimanche, qui indique une « détérioration alarmante » depuis une étude précédente.

Le rapport, publié par l’Institut de suivi de la paix et de la tolérance culturelle dans l’éducation scolaire, affirme que le programme 2016 – 2017 pour les écoles élémentaires de l’AP « apprend aux élèves à être des martyrs, diabolise et nie l’existence d’Israël, et se concentre sur un ‘retour’ à un pays exclusivement palestinien. »

Le rapport du groupe de Jérusalem est publié au moment où les responsables palestiniens perpétuent, ce que les Israéliens voient comme un appel à la diabolisation d’Israël dans les manuels et d’autres documents destinés aux enfants. Ils affirment que les manuels sont une source cruciale d’incitation qui mène à des attaques terroristes.

Parmi les documents cités dans le rapport, il y a notamment des cartes dans lesquelles Israël ne figure pas et des passages qui semblent glorifier les attaquants.

Le rapport précise que, en plus de ne pas faire apparaître Israël sur les cartes, les villes israéliennes comme Haïfa et Jaffa sont présentées comme palestiniennes, un phénomène souvent retrouvé dans les documents scolaires de l’AP.

Les critiques palestiniens ont souligné que les cartes des manuels scolaires israéliens ne font généralement pas non plus la distinction entre Israël et les territoires considérés comme palestiniens, ni ne le font au niveau des villes.

Le rapport souligne la nouvelle importance donnée au « martyr» dans les manuels.

Pour corroborer cette affirmation, le rapport donne trois exemples, dont deux problèmes mathématiques, dans lesquels le martyr est au cœur de l’exercice.

« Le nombre de martyrs de la première Intifada, entre 1987 et 1993, était de 2 026, et le nombre de martyrs de l’Intifada d’Al-Aqsa, dans les années 2000, était de 5 050, et le nombre de blessés a atteint les 49 760. Combien de martyrs sont morts pendant les deux intifadas ? », trouve-t-on dans un manuel de CP.

Les Palestiniens utilisent généralement le terme « martyr » pour tout Palestinien tué par un Israélien, quel que soit le contexte de son décès.

Un autre exemple cité par le rapport est une image d’un manuel d’éducation nationale et de socialisation destiné aux enfants de neuf ans, dans laquelle on voit des enfants regarder le pupitre vide de leur camarade de classe avec une pancarte sur laquelle est inscrite « Martyr ».

« La détérioration importante, et même alarmante, du message des programmes fait peu de doute comparée à notre examen des textes précédents pour ces groupes d’âges. A cet égard, cela n’augure rien de bon pour les perspectives de paix », affirme le rapport.

Marcus Sheff, le directeur exécutif du groupe qui a rédigé ce rapport, a déclaré lundi au Times of Israël que les nouvelles références aux martyrs dans les manuels scolaires des enfants « mettent en lumière l’idée d’un enfant martyr ».

Cela envoie le message que « ces enfants sont potentiellement consommables », a-t-il déclaré.

Sheff a cependant noté que les nouveaux programmes mettent l’accent sur l’égalité des sexes, ainsi que sur l’importance de respecter l’autorité et l’environnement

Le gouvernement israélien affirme depuis longtemps que l’incitation à la haine et à la violence des manuels scolaires palestiniens est l’un des facteurs principaux contribuant à la haine et au terrorisme contre les Israéliens. Les responsables palestiniens répliquent que ce sont les mesures israéliennes draconiennes et les décennies d’occupation, et non l’incitation, qui instillent la haine et inspirent le terrorisme.

Le sujet a récemment pris de l’importance, car les membres du Congrès américain ont menacé de diminuer l’aide des Etats-Unis aux Palestiniens si l’incitation ne diminuait pas.

Le rapport, selon Sheff, a été discuté pendant 16 réunions avec des élus et des responsables à Washington, D.C., en mars.

Le Fatah, qui gouverne actuellement la Cisjordanie avec l’Autorité palestinienne, a reconnu l’existence d’Israël à la fin des années 1980, contrairement à son rival, le Hamas, qui dirige la bande de Gaza. Pourtant, l’AP a refusé les demandes israéliennes de reconnaître Israël en tant qu’Etat juif.

Reconnaître la judaïté d’Israël signifierait que l’AP renoncerait effectivement à sa demande d’un vaste « droit au retour » qui inonderait Israël de millions de descendants de réfugiés palestiniens.

 

 

« LU » DANS LES MANUELS SCOLAIRES DE L’AUTORITÉ PALESTINIENNE

David Sebban

Coolamnews, 13 mars, 2018

 

Mahmoud Abbas peut bien s’évertuer à tenter de convaincre les grandes chancelleries occidentales et les donateurs de la planète que son combat contre Israël est pacifique, les faits sont têtus.

Récidive ! Après avoir envoyé au pilon il y a un an, des manuels scolaires qui présentaient Israël comme un cancer implanté dans la région, l’Autorité palestinienne peine à trouver le ton juste. Régulièrement épinglé pour son narratif guerrier à l’égard d’Israël, le ministère de l’Education à Ramallah laisse passer intentionnellement, ou pas, des thèmes belliqueux dans les manuels scolaires  distribués dans les écoles.

On ne compte plus les cartes où Israël n’est même pas mentionné. On se souvient des cours de religion où Chrétiens et Juifs étaient assimilés dans les ouvrages, à des infidèles. Les élèves étaient mêmes invités à en guise d’exercice, à évoquer « les mensonges des autres religions ».

Le rapport, publié par l’Institut de suivi de la paix et de la tolérance culturelle dans l’éducation scolaire, affirme que le programme 2016 – 2017 pour les écoles élémentaires de l’AP « apprend aux élèves à être des martyrs, diabolise et nie l’existence d’Israël, et se concentre sur un ‘retour’ à un pays exclusivement palestinien. »

Calcul mental

Les incitations à la « résistance » contre l’occupant sont, elles, clairement exprimées. Les livres d’histoire regorgent d’anecdotes sur les chahidims qui ont donné leur vie pour le peuple palestinien. Des photos parfois choquantes pour des enfants, accompagnent les textes.

Cette fois, c’est dans un livre de mathématiques du primaire (CM1), que les jeunes palestiniens s’entrainent à un calcul très particulier.

Enoncée: « Sachant que le nombre de chahidims de la première intifada s’élève à 2026 et que celui de la seconde intifada est de 5050 chahidims, quel est le nombre total de victimes de la barbarie israélienne ?

Vous avez dit morbide ? Il ne se passe pas une année, sans que les observatoires indépendants qui enquêtent sur le contenu des manuels scolaires, ne tirent la sonnette d’alarme. Les autorités palestiniennes s’engage à modifier, à corriger mais en vain. A chaque livraison, le résultat est le même.

Doit-on rappeler que les manuels sont financés par les pays donateurs dont en grande partie…l’Union européenne.

 

LONDRES VA EXAMINER LES MANUELS SCOLAIRES PALESTINIENS QUI INCITENT À LA HAINE

Times of Israel, 8 juil., 2018

 

Le gouvernement britannique et d’autres donateurs du système d’éducatif palestinien vont mener une enquête sur l’incitation à la haine contre Israël et les Juifs présente dans les manuels palestiniens.

« Il n’y a pas de place dans l’éducation pour des manuels et des pratiques qui incitent les esprits de jeunes vers la violence », a déclaré Alistair Burt, membre du Parlement et ministre des Affaires étrangères lors d’un débat mené mercredi à la Chambre des Communes, la chambre basse du Parlement britannique, sur l’incitation à la haine dans les manuels de l’Autorité palestinienne.

« Notre soutien continu va de pair avec un défi fort et continue vis-à-vis de l’Autorité palestinienne sur l’incitation à la haine dans le domaine éducatif », a-t-il ajouté. Nous sommes dans les étapes finales de discussions pour proposer un examen des manuels conjointement avec d’autres donateurs ».

L’examen devrait être terminé d’ici septembre 2019, a-t-il précisé. L’examen sera « rigoureux et basé sur des faits », a également déclaré Burt.

La question a été discutée à la demande du législateur Joan Ryan, président des Amis Travaillistes d’Israël.

Ryan a cité des exemples d’un rapport d’octobre sur une réforme des programmes de l’Autorité palestinienne. Les changements qu’elle a apportés impliquaient que « la radicalisation se retrouve dans l’ensemble de ce nouveau programme, à un niveau plus important qu’avant », selon le rapport rédigé par l’Institut de Veille de la Paix et de la Tolérance Culturelle dans l’Education, institut basé en Israël.

Dans un livre pour les élèves de Première, « Education islamique Volume 1 », on peut lire : « La corruption d’Israël dans la terre était et sera la cause de leur annihilation, et ce principe islamique s’applique à chaque tyran et oppresseur ».

Un autre livre pour les élèves de Seconde, intitulé « Langue Arabe Vol. 1 », ignore la présence juive en Terre d’Israël ou la présente comme une cause commune contre laquelle les Musulmans et les Chrétiens doivent se battre.

En avril, le même groupe de veille a déclaré que, l’année dernière, le gouvernement britannique avait accordé 20 millions de livres sterling aux écoles palestiniennes enseignant un programme qui soutient le jihad, omet des références aux accords de paix avec Israël et encourage le martyr, a annoncé le Sunday Times.

Le gouvernement israélien explique depuis très longtemps que l’incitation à la haine dans les manuels palestiniens constitue l’élément principal de la haine et du terrorisme contre les Israéliens. Des officiels palestiniens répondent que les mesures israéliennes draconiennes et des « décennies d’occupation », et non pas d’incitation à la haine, instillent la haine et inspirent le terrorisme.

La question a récemment pris une autre importance, lorsque des membres du Congrès américain ont menacé de diminuer l’aide américaine aux Palestiniens si l’incitation à la haine ne cessait pas.

Par ailleurs, Julie Bishop, la ministre australienne des Affaires étrangères a annoncé le 2 juillet que l’Australie arrêterait son financement à l’Autorité palestinienne à cause de salaires versés aux terroristes emprisonnés en Israël, y compris des meurtriers.

 

PAS DE COEXISTENCE DANS LES MANUELS SCOLAIRES PALESTINIENS

Actualite Juive, 17 mars, 2016

 

Le spécialiste des affaires palestiniennes de Kol Israël, Gal Berger, a récemment publié les résultats d’une étude qu’il a effectuée sur le contenu de quelque 70 manuels palestiniens, utilisés pour l’étude de différentes matières, dont l’histoire, la géographie et les études islamiques, dans les diverses classes.

Il a déclaré que ces livres passaient le plus souvent sous silence l’existence d’Israël et que la possibilité d’une coexistence entre un Etat palestinien et un Etat juif n’y était pratiquement pas évoquée. « Dans les manuels de l’Autorité palestinienne, il n’y a pas d’éducation vers deux Etats ou un Etat palestinien [aux côtés d’Israël] dans les lignes de 67 », a-t-il souligné.

Israël n’est pas sur les cartes

Les livres d’histoire ignorent systématiquement la Shoah dans les chapitres consacrés à la Seconde Guerre mondiale, Israël ne figure pas sur les cartes et les villes de l’Etat hébreu sont présentées comme des villes palestiniennes. Selon l’un de ces ouvrages, la “Palestine” a une superficie de 27 027 kilomètres carrés, soit la surface totale d’Israël et des territoires. Les manuels d’études islamiques glorifient les martyrs ou “chahids”.

Quelle contribution ces ouvrages apportent-ils à l’incitation à la violence ? Gal Berger affirme que ces livres posent les fondements idéologiques qui peuvent conduire un jeune Palestinien à mener une attaque.

 

 

Actualité 

 

L’ATTENTAT D’ADAM : POURQUOI ?

Michèle Mazel

Jforum, 31 juil, 2018

 

Les faits d’abord. Enfin les faits vus par Le Figaro :  hier soir – jeudi – un Palestinien de 17 ans s’est infiltré dans une colonie et a attaqué des israéliens au couteau. L’un d’eux âgé de 31ans a succombé à ses blessures. Les deux autres ont été blessés, mais l’un a réussi à tirer. Le palestinien a été tué. Palestinien, Israéliens, colonie – tout est-il dit ? Hélas non.

Ce drame se déroule dans le petit village communautaire « Adam » qui compte environ cinq mille habitants. Une population « mixte » où religieux et laïcs vivent en harmonie.  Il se trouve en Cisjordanie. Une colonie donc, pas de doute. En regardant de plus près, on découvre que cette colonie se situe à un peu plus de deux kilomètres au nord-est de Jérusalem.

En grande banlieue sinon en banlieue tout court mais une colonie tout de même. L’Israélien tué, homme sans histoire, avait deux enfants très jeunes.  Selon la presse israélienne, il était sorti de chez lui pour aller préparer une surprise à sa femme.

Veuve aujourd’hui. Les petits réclament leur papa. Les funérailles se sont déroulées dans un village – pardon une colonie – en était de choc.

Il ne faudrait, pourtant pas, oublier l’autre dimension de ce drame. L’autre mort. Le terroriste, l’assassin palestinien pour les uns, le héros pour les autres et pour les siens. Celui qui a été tué avant de pouvoir continuer à frapper et faire d’autres victimes.

Il s’appelait Mohammed Tareq Yousef. Il avait tout juste dix-sept ans.  Encore au lycée ou l’équivalent local. Un visage buté, comme c’est souvent le cas chez des adolescents qui cherchent leur voie, une chevelure un brin romantique. Et l’inévitable page sur Facebook.

Seulement hier soir, ce garçon tranquille est sorti de chez lui avec un gros couteau. Il s’est dirigé vers le village et, arrivé devant la clôture de sécurité, a sauté sans difficulté par-dessus.

Une clôture à vrai dire bien modeste. Ni électrifiée ni dotée d’équipements sophistiqués pour détecter les intrus. Depuis sa création en 1983 le village – pardon la colonie – vivait en bon voisinage avec le Palestiniens d’alentour.  Et il a tué un père de famille de trente et un ans qu’il ne connaissait pas et n’avait jamais rencontré. Il a blessé deux autres personnes qu’il ne connaissait pas non plus.

Ah oui. Avant de partir il avait rédigé une longue tirade sur sa page, une diatribe plutôt, contre Israël et ses agissements à Gaza et en Cisjordanie. Il avait terminé en déclarant que le temps de la révolte était venu.

Sa famille est en deuil.  Son village est aussi est en état de choc. Peut-être pas tant du fait de sa mort que du fait des mesures répressives auxquelles il s’attend. Et personne ne va véritablement se demander pourquoi.

Pourquoi un adolescent, qui a toute la vie devant lui, prend la décision d’aller tuer des Juifs et s’en va seul dans la nuit.

Parce qu’il faudrait peut-être alors évoquer l’éducation à la haine depuis la tendre enfance, les livres de classe -publiés avec le financement de l’Union européenne – diabolisant Israël et les Juifs et leur déniant tout droit sur « la Palestine historique. » Evoquer aussi les prêches du vendredi, les stations satellitaires arabes et les discours d’un négationnisme de plus en plus virulent du président Abbas.

 

 

LE LEADER DRUZE APPELLE LES SOLDATS À LAISSER LA POLITIQUE EN DEHORS DE L’ARMÉE

Jacob Magid       

Times of Israel, 31 juil, 2018

Après avoir rencontré mardi le chef d’état-major de Tsahal Gadi Eizenkot, le chef spirituel druze Sheikh Muafak Tarif a publié un message destiné aux membres de sa communauté qui accomplissent actuellement leur service militaire obligatoire, dans un climat de protestations des soldats druzes contre la loi récemment adoptée sur l’État-nation.

« Faites-nous confiance, nous nous battrons pour vous. Nous n’avons pas de problèmes avec l’armée – vous êtes des soldats et des commandants loyaux, et je compte sur vous pour rester, vous et l’armée israélienne, à l’écart du débat public », a déclaré le Sheikh Tarif.

 

L’AMBASSADEUR DE TANZANIE SORT SA KIPPA ET FAIT UNE PRIÈRE

coolamnews, 30 juil., 2018

Une manière originale de faire son entrée dans le monde diplomatique. Alors que le nouvel ambassadeur de Tanzanie présentait ses lettres de créance au président de l’Etat d’Israël, mercredi dernier, le diplomate n’a pas hésité à se coiffer d’une kippa (vidéo ci-dessous). Du 15 juillet au 15 août, Coolamnews publie ses meilleurs articles de l’année écoulée. Article publié le 17/06/2017.

 

Au moment de prendre la parole, le nouvel ambassadeur de Tanzanie sort de sa poche une kippa. Sur un morceau de papier est inscrite une prière en hébreu. Le diplomate prononce le texte, certes, avec quelques difficultés. Il s’avère qu’il s’agissait de la prière « Sheehéyanou », qu’on lit les jours de fête ou lorsqu’une situation nous procure de la joie (Lorsque nous voyons une personne que nous n’avons plus vu depuis au moins 30 jours, sur un nouveau fruit, sur un nouvel habit…).

Le président Rivlin joue le jeu et se coiffe à son tour d’une kippa. Aussitôt, il félicite sympathiquement son invité pour cette initiative. Une démarche qui aura eu le mérite d’être filmée et diffusée sur les réseaux sociaux. L’ambassadeur de Tanzanie aura ainsi fait une entrée remarquée à son nouveau poste.

La Tanzanie, un pays clé d’Afrique de l’Est

Les relations bilatérales entre Israël et la Tanzanie ont été rompues suite à la guerre de Kippour en 1973.  Pourtant, des relations ont été rétablies en 1995, mais depuis, Israël mène  ses relations avec la Tanzanie via Nairobi, au Kenya. La Tanzanie avait exprimé l’été dernier, son intention d’ouvrir une mission en Israël.

Benjamin Netanyahou s’est félicité de cette décision et a déclaré que la Tanzanie revêtait une grande importance dans la politique israélienne d’ouverture à l’Afrique notant la spécificité de la Tanzanie  par sa stabilité politique et son système démocratique.

En effet, ce pays d’Afrique de l’Est, situé en bordure de l’océan indien, est très important pour Israël. Il est situé à l’interface des mondes africain, arabe et indien.

Video : https://www.coolamnews.com/lambassadeur-de-tanzanie-sort-sa-kippa-et-fait-une-priere/

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