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QU’EN DIT LA PRESSE?

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L’ancien président Yitzhak Navon enterré lors d’une cérémonie d’Etat

                                                            Times of Israel, 8 Nov., 2015

             

L’ancien président israélien Ytzhak Navon, qui s’est éteint vendredi à l’âge de 94 ans, a été salué dimanche comme une figure populaire et noble lors d’un enterrement auquel ont assisté d’anciens et actuels dirigeants du pays. Le corps de Navon a reposé entre 9 heures et 11 heures du matin à la résidence du président de Jérusalem.

 

A 11h30, la cérémonie formelle a débuté au cimetière du mont Herzl avec des discours du président Reuven Rivlin, du Premier ministre Benjamin Netanyahu, de l’ancien président Shimon Peres, des membres du cabinet, de la famille et des amis du défunt. L’enterrement était ouvert au public.

Netanyahu a qualifié de « joyau de notre ville de Jérusalem », soulignant qu’il était né en 1921 dans cette ville.

 

La famille de Navon résidait dans cette ville depuis 300 ans. Navon était un conseiller clé de David Ben Gurion et un homme politique respecté du Parti travailliste qui a également occupé plusieurs fonctions diplomatiques. Il a aussi écrit des livres et des pièces de théâtre. Certains de ces ouvrages sont devenus des classiques.                        

 

 

OBAMA ET NETANYAHU SE SONT PRESENTES PRUDEMMENT COMME DES ALLIES                                           

David Horovitz

Times of Israel, 9 Nov., 2015

 

Après des années d’âpres différends publics, le président américain Obama et le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, ont fait un effort concret pour se présenter comme des alliés liés par des intérêts partagés à la Maison Blanche lundi.

 

Netanyahu s’est évertué à convaincre le Congrès de s’opposer au président sur l’accord avec l’Iran en mars. Obama a attaqué à de nombreuses reprises les politiques d’implantation du Premier ministre israélien. Chacun des deux hommes pense qu’il sait mieux que l’autre comment diriger les deux pays. Mais Obama ne veut pas se diriger vers la fin de son mandat avec un conflit ouvert avec Israël et ses partisans aux États-Unis.

 

Il va bientôt entrer dans la dernière année de sa présidence et veut s’assurer que c’est un démocrate qui lui succède, et éviter ainsi que les électeurs aliènent les Démocrates à cause d’Israël qui est une préoccupation majeure. Et Netanyahu, accusé par de nombreux critiques de vouloir transformer Israël en une question partisane aux États-Unis en raison de la férocité avec laquelle il a fait campagne contre l’accord avec l’Iran d’Obama, voudrait manifestement commencer à travailler à renforcer le soutien bipartisan de longue date pour Israël du corps politique américain dans son ensemble.

 

Ainsi, dans leurs remarques à la presse au début de leur première rencontre depuis le mois d’octobre dernier, les deux dirigeants étaient manifestement respectueux l’un envers l’autre et étaient même utiles à l’autre, démentant toutes les frictions qui existent en coulisses. Obama a parlé de l’impératif de travailler ensemble pour lutter contre les menaces communes de la sécurité. Il a parlé de la nécessité d’obtenir « une longueur d’avance » dans un nouveau cadre de l’aide américaine à la défense sur le long terme. Il a reconnu la détérioration de la sécurité dans la région. Il a précisé qu’il demanderait « les idées » du Premier ministre sur la façon de revenir sur le chemin de la paix avec les Palestiniens. Ce sont tous des sujets qu’il allait soulever pour sûr mais son choix des mots était engagé et non pas exigeant ou sermonnant.

 

Et même sur le sujet le plus âprement contesté de toutes les questions, l’accord avec l’Iran – l’ « erreur historique » comme Netanyahu l’a appelé – le président était magnanime. Leur désaccord, a-t-il affirmé, était limité à la question « étroite » de l’accord spécifique – mais n’allait pas jusqu’à la conscience partagée de la nécessité de veiller à ce que l’Iran n’obtienne pas la bombe et pour freiner les activités de déstabilisation de l’Iran.

 

Aussi furieux qu’il aurait pu l’être par son différend avec Netanyahu contre l’accord de ces derniers mois, Obama a montré une volonté d’aller de l’avant maintenant. Lui et Netanyahu, a-t-il avec douceur, « [nous] cherchons à nous assurer de trouver un terrain d’entente » sur la question. Pour sa part, Netanyahu a également souligné la volonté de travailler ensemble – et les valeurs, les intérêts et le destin partagés qui sous-tendent à cette alliance des plus vitales d’Israël.

 

Il a cherché à rassurer le président que, même si la Maison Blanche a conclu qu’il n’avait pas le temps de négocier un accord israélo-palestinien dans le temps qui reste à Obama, Israël « n’abandonnera jamais notre espoir pour la paix » et plus particulièrement la solution à deux Etats – comme Netanyahu l’a décrit, « un Etat palestinien démilitarisé qui reconnaît l’Etat juif ».

 

Il a pris quelques instants pour remercier le président personnellement qui garantit l’ « aide généreuse » pour renforcer la sécurité israélienne au cours des années et a souligné sa propre et personnelle « appréciation » et celle de l’opinion publique israélienne pour ces efforts. Et il a géré que l’accord avec l’Iran peut-être de la façon la plus efficace possible : Il ne l’a pas du tout mentionné. Inutile de dire que personne n’a parlé de l’affaire relative au nouveau responsable de la communication de Netanyahu qui, en mars, avait traité Obama d’antisémite.

 

A la fin de leurs déclarations à la presse, cette démonstration public d’engagement mutuel négociée avec succès, Obama a, de manière révélatrice, écarté l’idée de répondre des questions et s’est laissé aller à un petit « bon » pour résumer. Le travail est fait en publique. Et en route pour le travail en privé.

      

 

L’INCITATION PALESTINIENNE A LA VIOLENCE ET A LA TERREUR                                                     

Alan Baker                                                                                                     

JCPA, 9 Nov. 2015

 

Les actes de violence et de terreur qui déferlent ces dernières semaines, particulièrement à Hébron et à Jérusalem, provoqués au départ par les violations dustatu quo sur l’esplanade de la mosquée Al Aqsa, sont analysés par divers commentateurs selon une série de raisons.

 

On nous explique que l’impasse du processus de paix avec les Palestiniens, la frustration, le manque d’avenir et d’espoir, la faiblesse de l’Autorité palestinienne, son incapacité à accompagner les jeunes dans l’usage des réseaux sociaux, sont les causes principales de cette nouvelle vague de terreur. Cependant, ils oublient de mentionner que la première cause de la crise est, avant toute chose, l’incitation à la haine anti-israélienne et antisémite.

 

C’est bien l’endoctrinement extrême qui demeure omniprésent au sein de toutes les strates de la société palestinienne, c’est bien ce lavage de cerveau qui a inévitablement conduit à la violence et à la terreur. Cette incitation est instruite par les imams dans les mosquées, par les instituteurs dans les maternelles, les écoles et collèges. Une propagande ignoble dans tous les médias, les ouvrages et sur les sites internet. Elle est devenue l’une des principales armes tactiques dans l’arsenal des sociétés arabes et au sein de la direction palestinienne.

 

Une culture qui véhicule et propage la méfiance et la haine, une incitation religieuse et publique constante, conduisent inévitablement à la violence et à la terreur. Elles sapent tout concept de relations pacifiques et de coexistence. Un leadership qui, ouvertement et officiellement, encourage une telle incitation ne peut pas venir avec les mains propres devant la communauté internationale et se plaindre du manque de progrès dans le processus de paix.

 

Quant on évoque à chaque fois l’impasse dans les pourparlers de paix ou la colonisation comme principales raisons à la vague de terreur actuelle, eh bien on trompe l’opinion internationale et on ne lui dit pas toute la vérité. Le raisonnement exprimé par le Secrétaire d’Etat américain John Kerry, attribuant la violence à la politique de colonisation d’Israël est à la fois absurde et irresponsable !

 

L’Incitation à la haine du Juif et de l’Etat d’Israël n’est pas nouvelle dans le monde arabe. Elle a joué un rôle central au fil des années dans toutes les couches sociales et dans l’opinion publique. Il est raisonnable de supposer que la culture de la méfiance et de la haine, attisée par l’incitation religieuse publique, conduit inévitablement à la violence et de la terreur. Un véritable leadership palestinien sincèrement attaché à la paix et à la coexistence devrait cesser ouvertement et officiellement d’encourager toute incitation.

 

De toute évidence, une politique pacifique ne pourrait être mise en œuvre si la direction palestinienne ne le démontre pas par des actes, par des discours, et par une volonté sincère et déterminée. Elle doit mettre un terme à l’incitation et à la haine aveugle qui sont contraires aux engagements signés dans ses accords avec Israël. Cela prendra probablement de nombreuses années, et peut-être une génération entière, pour pouvoir réparer les dégâts, mais il faut dès à présent le faire.

 

Hélas, les dommages sont toujours ancrés dans les esprits d’innombrables enfants et jeunes palestiniens. Le lavage de cerveau qu’ils ont subi par leurs imams, instituteurs et leaders, les oblige à haïr toujours Israël et les Juifs, et à percevoir les terroristes comme des modèles à suivre et des héros à glorifier.

 

 

HAMAS ET CORRUPTION : LES MILLIARDAIRES DE GAZA

David Allouche

Times of Israel, 4 Nov., 2015

     

L’un des plus grands mystères de la dernière guerre de Gaza en 2014 réside dans les photos que l’on pouvait apercevoir dans les journaux. D’un côté les destructions dans certains quartiers de Gaza, la pauvreté, le manque de moyen, les coupures d’eau et d’électricité contraignant une grande partie de la population dans l’enclave à vivre dans un dénuement extrême. De l’autre côté les photos des maisons des dirigeants palestiniens, notamment du Hamas, que ces habitants ont eux mêmes élus.

 

Les photos des maisons de ces leaders représentent un contraste frappant avec la réalité des Gazaouis : des palaces avec des équipements de gym ultra-moderne, des maisons luxueuses construites sur la côte de Gaza. Des dirigeants du Hamas dans des hôtels 5 étoiles à Dubaï, attablés autour d’un petit déjeuner copieux, tout cela pendant que la population de la bande de Gaza souffre en pleine période de Guerre.

 

Cela reste un grand paradoxe : comment ces dirigeants, qui sont nés et ont grandis dans des camps de réfugiés à Gaza, peuvent-ils se targuer d’aider et de représenter leur peuple, alors qu’ils sont devenus extrêmement riche en l’espace de seulement quelques années au pouvoir ?

 

En effet la plupart des fondateurs du Hamas sont issus de familles de réfugiés. La plupart des leaders d’aujourd’hui étaient responsables d’organisations islamiques dans la Bande de Gaza et en Cisjordanie.

Leurs organisations étaient soutenues par l’État hébreu qui cherchait a contrebalancer l’influence du Fatah dans les territoires palestiniens. Dans les années 80, le Hamas décide de couper les ponts avec Israël et de chercher des financements à l’étranger. La richesse personnelle de ses membres fondateurs a alors commencé à croitre rapidement, et de manière phénoménale.

 

Comment se sont-ils enrichis? L’argent, est récolté par différents moyens. La Zakat, équivalent de l’aumône, les dons et impôts religieux deviennent ainsi rapidement la principale source de revenue du Hamas. Les dons ont commencé à affluer de divers pays tels que la Syrie, l’Arabie Saoudite et ensuite l’Iran. En 2015 le Qatar a été le principal donateur du mouvement dans la bande de Gaza. Tout ces dons venus de l’étranger et confiés entre les mains du mouvement islamiste sont difficile à tracer, et des sommes importantes semblent ne pas arriver à la population, et atterrir dans les poches de Hauts Dirigeants du Hamas.

 

Une preuve flagrante est la lenteur avec laquelle la reconstruction de Gaza prend effet, malgré les centaines de millions d’euros de dons du Qatar. Plus important : les  campagnes de « Fundraising » aux Etats-Unis : Moussa Abu Marzook, avait commencé à lever des fonds parmi les riches musulmans d’Amérique dans les années 90. Pour ce faire il a établi différent faux fonds d’investissement. Avec le temps il construit même un conglomérat composé de plus de 10 compagnies financières chargées d’octroyer des prêts et de diriger des faux fonds d’investissements pour le Hamas. Abu Marzook était un banquier très astucieux selon de nombreux experts israéliens.

 

En 1995, le gouvernement Américain met un termes aux activités de Abu Marzook. Il est mis en prison et condamné à deux ans de prison pour des activités  finançant le terrorisme. Il est ensuite expulsé et renvoyé à Gaza. Mais le plus surprenant dans l’histoire c’est que Marzook a pu garder l’argent qu’il avait amassé pour le compte du Hamas.  Marzook devint donc un multi-millionaire avant son expulsion pour Gaza.

 

Le fait qu’il n’ait fait que deux ans de prison pour des accusations aussi grave montre bien l’importance du personnage. Aux Etats-Unis, financer le terrorisme est un crime passif normalement de 20 ans de réclusion. Cela prouve bien que ce multi-millionnaire bien ancré dans le système américain a du avoir des contacts haut placés dans l’administration pour pouvoir sans sortir avec une simple expulsion, sans avoir à rendre les millions qu’il avait amassé. ..

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DEUX CAS D’ECOLE DU JOURNALISME ORIENTE DE L’AGENCE FRANCE PRESSE                                                

David Ouellette

Times of Israel, 2 Nov., 2015

 

L’Agence France Presse (AFP) est la principale source de nouvelles internationales des médias francophones. Et quand elle traite d’Israël et des Palestiniens, elle tourne les coins ronds. Dernier exemple en date, deux dépêches du 30 et du 31 octobre.

 

Vendredi, un nourrisson palestinien est mort à Bethléem. L’Autorité palestinienne a immédiatement annoncé que l’enfant est mort « asphyxié » par des gaz lacrymogènes déployés par des soldats israéliens contre des émeutiers palestiniens. Il n’en fallait pas plus pour que des centaines de médias abonnés à l’AFP titrent « Un bébé palestinien tué par des gaz lacrymogènes », comme, par exemple, le quotidien montréalais La Presse:

 

 Alors que le travail de journalisme consiste notamment à toujours vérifier la validité des déclarations d’un gouvernement, et à plus forte raison lorsqu’il est question d’un régime non-démocratique et autoritaire qui réprime la liberté d’expression comme l’Autorité palestinienne, l’AFP n’a pas cherché à valider l’annonce de manière indépendante. Elle croit sur parole l’Autorité palestinienne, comme on peut le constater dans la suite du même article: « Un bébé palestinien de huit mois est  mort vendredi asphyxié par des gaz lacrymogènes tirés par l’armée israélienne près du domicile de sa famille à Bethléem, en Cisjordanie occupée, a indiqué à l’AFP un porte-parole du ministère de la Santé palestinien.

 

Le petit garçon, Ramadan Thawabteh, a été asphyxié par des gaz lacrymogènes tirés par l’armée israélienne lors de heurts avec de jeunes lanceurs de pierres palestiniens, et qui se sont infiltrés dans sa maison, a précisé le porte-parole ». L’Autorité palestinienne indique et précise, selon l’AFP, qui abandonne toutes les précautions d’usage comme l’emploi du conditionnel, les guillemets et la préposition « selon ».

 

La crédulité injustifiée de l’AFP devient plus évidente en comparant cette dépêche à celle de cette autre agence de presse, Reuters: On Friday, the Palestinian Health Ministry said an eight-month-old baby had died in a West Bank village as result of inhaling teargas fired by the Israeli military in the area. Hospital officials told Reuters the infant had a prior health condition and that it was unclear what had caused his death.

 

Contrairement à l’AFP, Reuters accomplit ses devoirs journalistiques. Elle attribue les allégations autour de la mort du bébé à l’Autorité palestinienne et ne les rapporte pas comme des faits établis. Puis, elle cherche à confirmer ces allégations auprès d’autres sources pertinentes, comme l’hôpital palestinien où la mort de l’enfant a été constatée, et dont on apprend que l’enfant souffrait d’une maladie et que la cause de son décès n’était pas connue. L’AFP agit comme scribe de l’Autorité palestinienne et Reuters comme une véritable agence journalistique.

 

En revanche, quand il s’agit des responsables israéliens qui opèrent dans le contexte d’une presse libre et critique qui scrute chacun de leurs gestes, l’AFP retrouve soudainement ses instincts de scepticisme journalistique. Ainsi, dans cette dépêche du 31 octobre publiée par La Presse, l’AFP rapporte qu’ « un jeune Palestinien abattu pour avoir projeté d’attaquer des soldats israéliens, selon l’armée israélienne« , que « plusieurs Palestiniens ont été tués, présentés comme des assaillants par la police et l’armée israéliennes » et qu’ « Ils ont été abattus par les forces israéliennes qui les accusaient d’avoir poignardé ou tenté de poignarder des soldats« .

 

Bref, pour l’AFP rien n’est moins certain, et elle n’aurait pas les moyens de vérifier que des Palestiniens attaquent bel et bien des Israéliens et ont été abattus alors qu’ils tentaient de les assassiner.

 

On pourrait noircir des dizaines de pages avec des exemples semblables du parti pris transparent de l’AFP. Dans un monde où la rigueur journaliste importerait encore, le journalisme orienté de l’AFP devrait la chasser de son piédestal comme source principale des médias francophones sur le conflit israélo-arabe.

 

         

TRUDEAU « INQUIET » DE L’ETIQUETAGE DES PRODUITS DES IMPLANTATIONS                    

AFP, 13 Nov., 2015

 

Le nouveau Premier ministre du Canada Justin Trudeau s’est dit « inquiet » jeudi de la mise en oeuvre par l’UE de l’étiquetage des produits originaires des colonies israéliennes dans les Territoires palestiniens occupés. « Je me suis souvent exprimé contre le désir de sanctionner et de boycotter Israël par le mouvement BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions, NDRL) et autres, je continue de m’inquiéter des initiatives qui semblent cibler Israël plutôt que d’autres pays », a déclaré M. Trudeau en conférence de presse.

 

« Je pense que c’est important que les consommateurs puissent avoir l’information sur la provenance de leurs produits, mais dans un contexte global et pas dans un contexte qui cible précisément un pays ou un autre », a-t-il ajouté. L’UE a approuvé mercredi cette décision, débattue depuis 2012, qui vise à informer les consommateurs européens de l’origine des produits qu’ils consomment, conformément à la législation commerciale de l’UE, selon la Commission.

 

Elle porte désormais l’obligation à l’industrie alimentaire et à la distribution de mentionner spécifiquement sur les étiquettes que les marchandises viennent des implantations, qui pour l’UE ne font pas partie du territoire d’Israël. Or, aujourd’hui; les produits des implantations israéliennes sont étiquetés comme fabriqués en Israël.

 

Les marchandises concernées, en majorité des produits agricoles (fruits, légumes, vins) et des cosmétiques, représentent « moins de 1 % » du total des échanges commerciaux entre l’UE et Israël, soit 154 millions d’euros en 2014, selon des chiffres de la Commission.      

 

Shabbat Shalom  à tous nos lecteurs!

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